Ou tout cela nous mènera... ? PV Ebène (-15)

Il faisait sombre, la forêt tout entière était endormis, sauf les rares petits animaux incontinents et les grands prédateurs qui ne craignent rien des autres. Se déplaçant aussi silencieusement, grâce à son corps musclé, sous des pattes puissantes, se faufilant entre les arbres, son regard éclatant d'un jaunes or inquiétant, dissuadant sans mal un quelqu'onque adversaire. Foudre était maître de cette forêt, comme le lion était le roi de la savane et le tigre le roi de la jungle. Enfin, s'est ce que les contes racontent. Les brindilles craquaient sous ses pattes tranchantes, plus dangereux qu'aucun autre félin de sa connaissance, Foudre pouvait se promener en toute sérénité dans la forêt obscure sans craindre de se faire attaquer. Un seul de ses regards cruels et presque inanimal(Inhumain, pour nous) faisait faire demi tour aux animaux un peu trop curieux. Il se lécha le babine, effaçant les dernières traces d'un félin tué un peu plus tôt, comme il avait le temps et qu'il en avait marre de déambuler dans la forêt, il se rappela soudain d'une invitation qu'il avait faillit manqué, une invitation des plus intéressante qui promettait d'être palpitante, son instinct le lui disait clairement. Il bondit sur une racine, s'arrêta un instant. S'était ici, semble t-il, il agita les oreilles d'une étrange excitation que son cœur sombre et incassable ressentait sans mal, un mélange de bien et de mal, bref, il verrait bien. Il esquissa un sourire sournois, jouant avec la lumière de la lune qui étincelait son regard le rendant d'avantage terrifiant et fourbe. Il ne manqua pas de sentir celle qui lui avait donné " Rendez vous". Son sourire s'accentua, il tenta de prendre un air neutre pour ne pas paraître louche. Il alla à la rencontre d'Ebène, inclinant la tête sur le côté, sa fourrure à demi hérissé le rendant d'avantage intimidant, il la salua:

- Bien le bonsoir Ebène, je suis donc venu. Il s'arrêta un instant, il ne pu s'empêche de réprimer un ricanement, ses griffes sorties, il ajouta, oui, je n'ai pas manqué de venir à cette invitation qui promet d'être intense!

ébène se dirigea d'un pas souple jusqu'au court d'eau a traverser pour atteindre un autre lieu des chats de clans nommés "les quatre chênes" comme c'est ridicule, pensa t-elle tendis qu'elle entra dans la rivière ou le courant était doux, l'eau se teinta de rose lorsqu'elle y posa une patte. Elle avait encore tué... Plus loin la dépouille d'un chat au corps déchiqueté reposait entre deux racines, les yeux vitreux des filets de sang s'écoulant de sa gueule entrouverte. Le jeune chat était inexpérimenté et était a peine plus gros qu'un chaton sortit de la pouponnière. Elle ricana brisant le silence, la lueur rouge dansant dans ses yeux bleus était encore vive. Elle nagea souplement et rapidement, malgré son apparence faible elle était plutôt musclé et forte. Elle arriva sur la berge, baigné par le clair de lune, ou elle s'ébroua son pelage lisse et luisant brillait d'une pale lueur pourpre a la lumière de la lune. Elle marcha d'un pas tranquille jusqu’à une grande clairière, puis elle monta sur une sorte d'immense branche ou elle s'installa et lécha sa fourrure encore humide, semblait attendre quelque chose. Soudain elle sentis sa douce odeur de sang et le reconnu sans peine. Foudre. Elle descendis souplement la branche et le salua d'un léger signe de tête.

- Bien le bonsoir Ebène, je suis donc venu. oui, je n'ai pas manqué de venir à cette invitation qui promet d'être intense!

Elle ricana doucement a sa phrase, et une lueur malicieuse et coquine s'installa dans son regard. Pas pour le moins du monde intimider elle s'approcha et passa longuement sa queue sous son menton puis descendis sur son torse. Elle ronronna légèrement et ne dis rien en plongeant son regard dans le sien. Elle se rapprocha et lui frôla la truffe avant de le plaquer au sol, elle souris de nouveau et dit d'une voix moqueuse

-Bonsoir cher foudre... Oui tu as surement raison...

Foudre fit un pas en avant, ses yeux réduits à deux fentes n'exprimait qu'un étrange désire invraisemblable de sa part, mais aussi étonnant soit il, il ne s'agissait là que d'un jeu, un jeu qu'il savourait, qui l'amusait. Le mâle noir resta ouvert, dans son caractère, il pouvait être aussi enfermé et imperturbable que sournois, son caractère bien à lui ne manquait pas de surprendre et empêchait les autres de le cerner. Ebène semblait d'humeur, ce soir-là. Pas le moins de monde distant, elle semblait le désirer comme il la désirait. Pourquoi ? Il l'ignorait. Un sentiment fort et délectable amplifiait l'atmosphère, la rendant d'avantage plus chaleureuse. Mais Foudre était de loin pas le mâle avec qui batifoler sans risque, il y mettait ses règles, ses conditions. Ce jeu là, s'est lui qui le guidait, Ebène s'était approché de lui d'un mouvement qui ne laisserait les autres mâles indifférent. Un charme qu'il croyait insaisissable et pourtant qu'il tenait de ses pattes.

-Bonsoir cher foudre... Oui tu as surement raison...

Il se lécha les babines, frissonnant au contact nouveau d'Ebène, un contact qui n'avait rien d'un combat ou seul la douleur régnait, s'était là bien plus agréable et presque tentant, cependant il ne se laissa pas aller, profitant à sa façon de cet instant qu'il passait en la compagnie de cette jolie minette. Qu'était il, à son égare ? Tout ce jouait dans la manipulation et l'art de la séduction. Il n'était pas stupide, tout était faux, il n'y croyait pas et pourtant, s'il y mettait du sien, il pourrait rendre ce moment plus appréciable. D'un mouvement brusque quoique plus doux qu'à son habitude, il se débarrassa sans mal d'Ebène, puis lentement Il passa sa truffe sous la gorge de la femelle sentant son sang bouillir dans ses veines, il se lécha les babines, se rapprochant un peu plus d'Ebène, ses yeux brillants de plus belle, son air aussi mauvais que vainqueur. Il la tenait de ses pattes. Il n'y avait aucun retour en arrière possible, plus d'échappatoire. Un piège resserré qu'il ne brusquerait pas, il laisserait venir ce qu'il viendrait. Il n'était guère presser, il avait, au contraire, tout son temps...

- Ne brusquons pas la chose... Murmura Foudre, ses oreilles dressé sous son sourire sournois et étrange, laissant sa phrase sous quelque sous-entendu...

Elle savait bien qu'il la manipulait et qu'elle n'était qu'un jouet entre ses pattes mais pour l'instant elle s'en fichait bien. Il la retourna facilement et elle se laissa faire, elle voulait pleinement profiter de ce moment fort intéressant et appréciable. Quelque chose de nouveau pour elle, en général lorsqu'elle le faisait avec les mâles c'était plus pour leur briser le cœur et les voir souffrir. Elle se délectait en silence de leur souffrance et le plus souvent pour les "aider" a supporter, elle mettait fin a leurs jours et le plus souvent, pas de la manière la plus agréable. Mais la c'était différend, plus... Envoutant. Elle se délecta de son regard inquisiteur. Elle était au sol et lui au dessus d'elle la maintenant fermement et cela n'étais pas la pour lui déplaire. Il lui lécha longuement la gorge et elle frémis sentant la douce odeur du sang lui frôler les narines. Oui... Foudre était différend, il ne se laisserais jamais attraper par son charme envoutant, il ne lui laisserais jamais prendre le dessus, il était fort et réfléchissais a chaque détail, chaque mouvement... Elle le savait maintenant, elle était sienne. Cette idée la fis sourire et elle étouffa un rire glacial en plongeant le regard dans celui du matou qui était a un poil de son visage et qui lui souffla

- Ne brusquons pas la chose...

Elle souris encore plus. Tout cela ne semblait pas non plus lui déplaire. Elle avait l'impression de lire dans son esprit tel un livre ouvert. Elle frémis de nouveau de bonheur d'avoir enfin trouvé celui qu'elle a longuement recherché, et elle posa sa patte sur sa joue et la lécha longuement et langoureusement laissant ses instinct la dicter et le désir l'envahir tel une multitude de sensation qu'elle n'avait jamais autant ressenti tel l'extase qui semblait bouillonner en elle.
Elle lui souffla a l'oreille

-Tu as raison nous avons tout notre temps...

Elle se colla contre lui, laissant leurs pelage se toucher. Elle plongea de nouveau son regard de glace dans le sien, ses yeux n'ayant jamais paru aussi lumineux...

La lune était presque pleine et aucun vent ne souffla ce soir-là, seul une étrange chaleur presque étouffante imprégnait l'air, était ce vraiment l'air qui lui donnait cette impression ou l'excitation qui montait en lui et lui donnait cette effet ? Foudre en déduit qu'il devait s'agir un mélange des deux. Foudre ne se laissait pas avoir. Il ne se laisserait pas aller. Pas tout de suite. Pour le moment, il se contentait de tout calculer, tout prédire, il ne cessait de profiter de la situation à son avantage. Ebène se laissait faire, elle savait que la partie était perdu d'avance pour elle si elle voulait prendre le dessus ou encore s'opposer à sa volonté. Etonnement, Ebène en profita tout autant que lui, surement parce que Foudre, pour une fois il avait décider de ne pas brusquer, ni trop forcer, se contentant d'observer les moindres réactions de la femelle, voir comment elle réagissait. Foudre se dressait de toute sa hauteur, en dessus d'Ebène qui ne pris même pas la peine de se dégager, bien au contraire, elle semblait apprécier d'être dominer ainsi par un matou plus puissant encore qu'elle ne l'était déjà. Cela devait être rare, Foudre l'avait suffisamment observer pour estimer sa force extrêmement élevé. Il avait peut être enfin trouvé quelqu'un qui lui plaisait, qu'il désirait enfin posséder, qu'il voulait tout entière. Il pencha la tête vers Ebène, humant son parfum à la fois sauvage et doux, un parfum lointain mais que si l'on sent bien était celui typique de la femelle, masqué par l'odeur existante et irrésistible du sang. Cette odeur, le rendant d'avantage plus fébrile. Il passa sa truffe sur chaque endroit, chaque partie du corps de la femelle, en prenant un malin plaisir, il ne cherchait pas vraiment son accord mais au moins il le faisait avec douceur. La femelle dit en un souffle:

-Tu as raison nous avons tout notre temps...

Foudre leva la tête vers la lune qui venait tout juste de se lever, ils avaient toute la nuit. Toute la nuit pour faire quoi au juste... ? Il sourit sournoisement, son instinct le dictait sans difficulté, bientôt, cette question aurait ses réponses! Pourtant, le matou noir se demandait comme il avait pu désirer autant cette chatte en une seule rencontre. Peut être parce que ce n'était pas un véritable amour ? Plus une attirance si forte qu'il se contrôlait avec peine ? Cependant, avec le temps et la patience, leur lien ne pourrait qu'évoluer. Ebène appréciait, elle aussi, elle semblait heureuse elle savait qu'elle ne pourrait mener le jeu, que s'est lui qui détenait la cadence, qui la maitrisait, qui choisissait, il se pencha encore, ses yeux allants de la gorges de la femelle à ses yeux, à son corps mince, tout étant si tentant et pourtant il gardait un sacré sang froid. Il savait que, malgré tout, il n'en resterait pas là, Ebène semblait le vouloir aussi, il décida cependant de ne toujours pas précipiter le moment, comme si son instinct, celui du chat qu'il était lui ordonnait de ne rien tenter pour le moment, aussi, Foudre attendait ce signal silencieux. Le matou susurra:

- As-tu peur de se qu'il suivra ?

Il la dévorait du regard et elle se délectait en silence de son attirance pour elle, c'était bien différend des autres fois ou les matous c'étaient pratiquement jeté sur elle... Il prenait son temps comme pour faire durer un plaisir aussi délectable qu’accessible pour lui, il pouvait la faire sienne a tout moment mais il semblait profiter de sa domination et il semblait éprouver un certain plaisir, il semblait heureux, non ce n'était peut être pas le mot, mais l'on voyait très clairement une lueur ardente de convoitise briller dans son regard, il voulait faire d'elle une de ses conquêtes, sa possession. Elle gémis doucement appréciant ce moment comme aucun autre. Il semblait s'amuser avec lui même, semblant se retenir. Elle l'observa du bout des oreilles jusqu'au bout de la queue. Son pelage noir brillait du même éclat que le sien a la lumière blanchatre de la lune, leurs ombre et leurs yeux se mêlant et semblant fusionner.

- As-tu peur de se qu'il suivra ?

Elle frémi doucement par cette question inattendu et replongea son regard dans la magnifique rivière d'or et de sang de celui de foudre. Une moue provocatrice et moqueuse se dessina sur ses lèvres, la réponse était évidente et il semblait jubiler en silence, cela la comblait. Elle pouffa de sa voix glacial

-Je n’ai jamais eu peur foudre. Je n'aurais jamais peur.

Oui la peur était pour les faibles et même si elle ne serait jamais aussi forte que foudre elle était loin de l'être. Elle parcoura son museau sur le torse de foudre, laissant sa queue lui passer le long de l'échine, elle sourie.

Il s'arreta un instant dans son occupation. Il n'avait jamais eu pareil plaisir et il savait qu'ils ne trouverait jamais quelqu'un d'autre comme Ebène. La femelle frissonnait à son contact, Foudre déduisit cependant qu'elle avait l'habitude de se faire courtiser par des mâle trop imprudent. Mais Foudre était différant de tout ceux là, il ne risqUait rien et, au contraire d'Ebène qui ne se préoccupait pas de savoir à quel point elle pouvait risquer sa vie, Foudre était loin d'être fiable et dans son excitation qu'ils peinait à maîtriser pouvait être violant, pour le moment, il continuait de garder son calme. Il lécha une nouvelle fois la gorge de sa conquête, sa langue se promenant jusqu'à sa nuque, descendant sur son flanc, ses hanches et certain endroit plus intime. Il le fit sans trop de retenu son désire se faisant plus pressant, plus insistant. Il ne cessait de regarder Ebene tout en continuant de la vouloir rien qu'à lui, ce besoin qui ne faisait que croître... Son sourire de coin, toujours triomphant. La femelle pouffa :

- je n'ai jamais eu peur, Foudre. Je n'aurais jamais peur.

foudre consentit de la tete. Il savait que le moment ou il irait plus loin ne tarderait pas et Ebène semblait pas affolé à cette idée, au contraire, elle semblait plutôt le vouloir, elle était entreprenante, ne refusant pas la moindre de ses caresses douces et bien placé, plus le temps passait et plus Foudre se permettait certaine chose, plus aucune intimité entre eux deux, il ne pouvait se débarrasser de cette excitation nouvelle et appréciable. foudre continuait de prendre son temps, laissant le temps à Ebène de s'habituer à se rapport charnel qui ne cessait de venir plus intense. Voyant l'air heureux de la femelle, le matou ne pût s'empêcher de demander amusé:

- Apprécies tu autant que je profite ? Me désires tu autant que je te desire ?

Foudre se montrait de plus en plus entreprenant, franchissant les limites du raisonnable. Mais foudre n'était pas raisonnable plus qu'ébène, il l 'était même moins. Ses caresses se firent plus langoureuse, plus excitante. Chaque endroit ou il passait sa langue ou son museau semblait électrisé, comma animé, en feu et cela augmentait son désir ou il n'y restait que l'extase. Elle sentais qu'il allait bientôt passer a l'acte et qu'il était bien trop tard pour s'arrêter. C'était surtout qu'elle ne voulait pas s'arrêter, son plaisir devait se faire ressentir dans l'air car une lueur amusé s'alluma dans les yeux de foudre, il souris et déclara d'une voix moqueuse

- Apprécies tu autant que je profite ? Me désires tu autant que je te désire ?

ébène pouffa tandis que une bouffé de sensation l'envahissait, c'était une question idiote et il savait la réponse aussi bien qu'elle. Il voulait faire durer le plaisir encore et encore jusqu’à craquer. Elle souris et rapprocha son visage a un poil du sien en ne le lâchant pas de son regard hypnotique. Elle se colla encore plus contre lui, leurs ombre semblant se mêler a la cadence de la lune qui déclinait, les éclairant de sa douce et blanche lumière. Leurs pelage semblant se confondre, tout deux conçu de la même couleur noir d'encre, brillant doucement d'une sublime lueur pourpre, comme animé et parsemé d'étoiles. elle lui toucha la truffe et lui lécha la peau nue de l'oreille, lui soufflant de son habituelle voix malicieuse

-Tu connais déjà la réponse... Je fais bien plus que profiter...

Elle se colla un peu plus contre lui et attendis avec une lueur coquine qu'il passe a "l'acte"...

Foudre savait aussi bien qu'Ebène que sa question était inutile, comme s'il voulait juste l'entendre d'elle même, comme s'il voulait faire duré se moment, comme s'il voulait juste poussé ses limites et savoir jusqu'ou il tiendrait. Le matou noir était d'ailleurs d'avantage satisfait se savoir qu'Ebène n'était ni une mauviette, ni une chatte stupide. Foudre n'aurait surement pas tenter pareil chose avec n'importe qu'elle chatte de la forêt, la plupart finissant massacré, vidé de leur sang, mais étonnement, Ebène lui plaisait vraiment. Il savait qu'il ne pourrait pas l'aimer comme un mâle aimait une femelle, s'était plus une attirance à l'extrême. Un sentiment exaltant qui se faisait ressentir jusqu'à la moelle. Il avait eu raison. Il ne s'était donc pas trompé, Ebène serait bientôt à lui et pour cela, il devait en passer par là. Ce n'était pas pour lui déplaire, cette sensation alors qu'il ne faisait que commencer.

-Tu connais déjà la réponse... Je fais bien plus que profiter...

Cette lueur dans les yeux d'Ebène, ce regard bleu pénétrant qui semblait prête. Foudre releva la tête un peu surpris, jamais il n'aurait jamais cru qu'Ebène accepterait aussi facilement de se lier à lui... Foudre mit de côté la raison qu'elle était naïve. Non, elle n'était pas naïve, il en était certain, c'est comme si la femelle utilisait l'amour à la légère. Il haussa les épaules pensif, tant mieux, il n'aurait en rien besoin de la forcé, ça aurait été moins appréciable, s'est sûr... En un instant, Foudre s'immobilisa, d'un coup, il arrêta toute caresse, il souffla doucement puis se mit à émir un grondement rauque, il se pencha en avant, il planta les crocs, sans trop pressé dans la nuque de la femelle, l'incitant ou plutôt l'obligeant à se retourner en position du sphinx( Position, quatre pattes replié sous le ventre, tu vois le genre ?) sans trop savoir pourquoi, il avait les griffes sorties. Ses pattes avants glissèrent lentement sur le flanc de la femelle, ses griffes toujours sorties frôlèrent la fourrure noir d'Ebène, au lieu de desserrer la gueule pour lâcher la nuque d'Ebène, il les serra d'avantage, sans trop le vouloir, le sang s'échappa lentement de la nuque de la femelle imprégnant sa gueule, ses yeux passant du jeune au rouge puis reprirent leur teinte normal., il lâcha la nuque d'Ebène qu'il avait blessé sans le vouloir, dans un moment pareil, il peinait à réguler sa force. A présent, à califourchon sur elle, il la teint fermement, il essayait de ne pas être trop brusque pour rendre le moment agréable pour eux deux et pas que pour lui. Il lécha la nuque d'Ebène pour se débarrasser du sang qui l'obsédait. Une nouvelle excitation le pris, il gronda doucement et fut pris d'un petit ricanement:

- Tu es bien courageuse, belle Ebène.

Lorsque foudre planta ses crocs dans sa nuque, elle se laissa retourner sans protester, elle sentis ses griffes passer d'une manière ni délicate ni trop brusque passer le long de ses hanches et dressa automatiquement l'échine. Elle regarda le reflet de l'eau onduler sous une douce brise et elle souris. Elle sentis la pression sur sa nuque s'accentuer et un liquide poisseux couler le long de ses épaules, le sang eu pour effet de mettre ses sens en alerte. Elle dressa les oreilles et ses narines frémirent, l'odeur gâchait tout ses autres sens et lui emplissait l'esprit. Cette odeur aussi fameuse que délicieuse lui fit claquer la langue au palais. Elle savait que c'était le sien mais ce n'était pas grave, blessure mineure, de plus cela faisait a présent des années qu'elle ne ressentais plus rien, plus aucune douleur, elle était devenue forte et savais résister. Elle ne pensa a rien, son esprit était concentré sur les mouvement de foudre qui se trouvait au dessus d'elle, il lui souffla a l'oreille

- Tu es bien courageuse, belle Ebène.

Elle ne dit rien et son sourire changea pour devenir plus malicieux, pour la première fois depuis longtemps, elle ressentais une autre envie que le sang. Plus pressante plus forte, elle pris le dessus. était ce déjà arrivé ? Non surement pas, rien ne restais aussi fameux que le sang mais cela dépassais de loin toutes ses espérances. Elle se colla un peu plus a lui et emboita son corps au sien en poussant un léger ronronnement rauque. Il pris la cadence et leurs corps semblèrent fusionner comme leurs ombre. Elle souffla

-Courageuse ? Ne me fais pas rire... ais je besoin d'être courageuse ?

Elle planta ses griffes dans le sol en n'arrêtant pas de sourire.

[justify]foudre reserra son étreinte, le sang ne semblait guère faire souffrir ébène. Foudre sourit au dessus d'elle, pritant de sa domination et de sa supériorité. Mouvement brusque et agressif de sa part et il lui brisait la colonne vertébrale. Foudre continuait de lécher la femelle avec lenteur et application si l'on peut dire, parfois il sortait les crocs, résistants à les planter à certain endroit de la femelle. Comme s'il hésitait à véritablement passer à l'acte... Puis lentement, Il appuya sur son bassin en grognant légèrement, sa mâchoire serré. Sa belle partenaire semblait, pour l'instant bien détendu mais Foudre avait déjà entendu dire qu'une femelle sous l'excitation pour devenir légèrement agressive et mordre. Est-ce vrai ? Il l'ignorait. Il lécha encore la longue colone vertébral d'ébène, il émit un étrange ronron, tout son corps s'agitant dans un jeu de caresse toute plus sensuel et charnel les une des autres. L'atmosphère avait chauffé d'un coup, l'euphorie était général aussi, Foudre jugea bon de s'arrêter un court instant. Ebène souffla à ce moment là quand elle pu parler :

- courageuse ? Ne me fais pas rire... Ai-je besoin d'être courageuse ?

foudre esquissa un sourire glacial. Il profita de sa courte pose pour continuer sà découvrir ce corps de femelle qui jusque là lui était inconnu, fébrile, il passa sa truffe là où il pouvait, plus aucune discrétion, il faisait même exprêt d'examiner les endroits les plus intimes de sà truffe ou de sà langue, comme s'il voulait passer le message à ébène qu' à présent, qu'en ce moment de plaisir, de désir et d'excitation elle devait savoir que Foudre n'apréciait guère qu'on lui refuse quoi que ce soit. Aussi, avec provocation et défi, il ne cessait de passer en revue les endroits plus que personnels qu'ils prenait un malin plaisir à atteindre, ses endroits intimes était également les plus excitant, il esquissa un nouveau sourire de coin signifiant clairement à ébène qu'ils ne to,érerait pas les revendication. foudre e était à présent certain, aucun mâle n'avait oser jusque là toucher ses endroits privé chez ébène, il en était sur, elle était trop fière pour ça. Il repris alors une position plus confortable, dominant toujours la femelle, re errant une nouvelle fois son étreinte, les yeux brillants de désir. Ébène allait lui appartenir cependant... Il huma le doux parfum de la femelle. Une odeur, lointaine mais quand même là le rendit perplexe. Ebène avait donc déjà eu des petits... Ou ? Quand ?? Et avec qui ?! Le matou noir décida d' y penser plus tard. Continuant d'assouvir ses désirs masculins, continuant de la lécher doucement et de façon apréciable. Elle était sienne... Et quel le veuille ou non elle lui appartiendrait. Foudre répondit :

- oh ? Vraiment ? Moi je continu à penser que tu dois avoir un sacré cran te lier à moi et encore plus d'apprécier le moment...[/justify]

Elle sentais bien que le matou sanguinaire résistait entre planter ses crocs la ou il pouvait et continuer a rester délicat et ne pas la brusquer. Vas y... Pensa-t-elle tandis qu'il se permettait tout ayant à présent franchit depuis bien longtemps la limite que l'on pouvait s'accorder. Il n'avait plus aucune gêne a passer sa truffe dans les endroits les plus intimes, continuant a lui lécher l'échine de sa langue rapeuse. L'atmosphère avait grandement changé. Malgré la douce et fraiche brise qui soufflait entre les feuilles et dégageais le ciel, il semblait régner autour d'eux, une chaleur étouffante et oppressante, débordant de désir... Jamais mais vraiment jamais, elle n'avais eu autant de plaisir avec mâle, ils étaient tous bête et se laissait facilement berner. Bien sur il y avait eu quelqu'un... Tempête. Son ancien compagnon, elle avait eu des chatons avec lui, trois. Onyx, cristal et le dernier brise. Elle frémi doucement en sentant foudre s'arrêter, comme si il avait lut dans ses pensées. Puis il repris ses douces et délicieuses caresse cependant il semblait troublé... Elle décida de ne rien dire.
Il répondis a la question de tout a l'heure en reprenant

- oh ? Vraiment ? Moi je continu à penser que tu dois avoir un sacré cran te lier à moi et encore plus d'apprécier le moment...

Un sacré cran...Elle? oui surement, elle pouvait être plus téméraire et rebelle que courageuse et parfois pouvais agir naïvement, mais ça c'était du passé. A présent elle n'avais plus peur, de rien... Ni de foudre ni de quelconque chose. Pas même la mort ni de l'enfer ou elle irait. Si elle devait mourir c'est que s'en était ainsi, après l'expérience douloureuse de sa sœur elle soutenait que n’ont pouvait changer le cours du destin. Elle passa sa queue sur l'échine de foudre, se laissant aller, puis se tendit en poussant un grondement rauque et agressif, l’instinct. Que pouvait elle y faire ? C'était normal, elle voulait mordre, griffer et tout le reste mais elle savait que foudre la tuerais si elle tentait ne serais ce le griffer. Un sourire moqueur et malicieux étendit ses lèvres, et elle ne résista plus. Continuant juste a gronder. Elle souffla en poussant un petit rire

-Oui tu as surement raison...

Ebène devenait agiter. tient donc... Il émit un ronronnement presque amusé, une situation qui laissait perplexe, Foudre finit même par se demander s'il allait trop loin... Il se repris un agitant la tête. Depuis quand ce souciait il des autres ?! Depuis jamais, voilà. Cependant, avec Ebène tout était bien différent. Rien qu'en la regardant, en la touchant il ressentait un sentiment étrange, comme si son cerveau protestait de pouvoir avoir autant de plaisir avec une chatte. Il ne connaîtrait probablement jamais l'amour mais peut être était-ce là une infime partie de ce que représentait ce sentiment... Il se crispa. N'importe quoi, il ne pouvait pas réellement commencer à l'aimer, ça en paraissait stupidement impossible. Pour le moment, il n'avait qu'un seul objectif, faire d'Ebène sa possession. Ebène devait en être très bien consciente qu'après cette nuit, Ebène serait sienne. Pour lui, ça paraissait une évidence. Il huma le parfum de la femelle, lui frôlant son pelage noir, l'odeur mélangé de sang(la plus belle odeur) aux doux parfum de la forêt et de la liberté, à l'odeur caractérielle d'une femelle mais également cet infâme odeur de lait bien qu'un peu plus ténu, Foudre essaya de repérer l'odeur du mâle avec qui Ebène aurait eu des chatons mais l'odeur plus forte du sang la masquait. Est-ce que ce mâle était encore avec Ebène ? Foudre espérait bien que non, sinon il le tuerait sans remord, Ebène n'était plus à personne d'autre que lui! quant au chaton... Il en ferait sans mal de la pâté qu'il donnerait au renard et au corbeau.

Il reporta son attention sur la belle femelle noire qui avait sortie les griffes. Foudre serra les griffes, resserrant son étreinte autour de sa partenaire, tout les muscles d'Ebène était tendu, Foudre le sentait bien, son instinct les disait clairement que tout se passait normalement, il sourit satisfait, tout son corps coller à la femelle, profitant d'avantage. La femelle souffla:

-Oui tu as surement raison...

Il agita les oreilles, s'est alors que Foudre releva brusquement la tête au moment ou Ebène allait lui mordre la gorge, il poussa un grondement surpris, sachant qu'Ebène n'y pouvait pas grand chose... Au même instant, Foudre saisit la nuque de la femelle, la maintenant avec fermeté, une nouvelle fois du sang s'échappa de la nuque d'Ebène, Foudre la tint ainsi un petit moment, puis lentement, desserra les crocs et entrepris de lécher la belle chatte, sa langue la nettoyant du sang avec une lenteur sensuel, le matou passa sa langue sur la gorge, s'arrêtant un instant aux endroit où se situait la jugulaire, il remonta jusqu'au menton et au babine avant de redescendre sur le poitrail jusque sous le ventre, il chuchota:

- Détend toi Ebène, laisse toi faire...

ébène sentait de nouveau le sang poisser ses épaules, se n'était plus vraiment une blessure mineure mais que pouvait elle y faire ? Rien. Ce n'était pas trop grave, elle ne sentais plus son cou et foudre continuait de la lécher doucement. Son étonnante délicatesse l'avait surprise, il devait vraiment apprécier ce moment avec elle. Il resserra sa prise contre elle jusqu’à qu'il n'y ai plus d'espace entre leur deux corps qui se mouvait l'un contre l'autre. Malgré son désir et son bonheur apparent, foudre semblait troublé, avait-il sentis l'odeur de ses chatons sur elle ? Oui surement, elle ne les allaitaient presque plus et ils se trouvaient dans une tanière dans les territoires libres en ayant l'habitude de rester seuls... Mais a quoi elle pensait ? Non elle devait rester concentrer sur se qu'il se passait entre foudre et elle, c'était beaucoup agréable et sensationnelle que n'importe quoi d'autre... Elle devait profiter, de plus elle n'était même pas sur qu'après l'avoir fait sienne, il ne la tue pas ou décide de l'abandonner. Tout cela était fort probable mais elle aimerait le revoir quelques fois ou même... Nombreuse fois ne serait pas mal non plus. Elle eu un sourire cruel plus pour elle même, elle ne commençais pas a s'attacher a lui si ? Oui était surement la réponse. Elle n'avait pas pour habitude de s'attacher a ses conquêtes mais lui était si différend des autres, c'est ce qui faisait son charme. Elle colla un peu plus ses hanches aux siennes, c'est bon a présent elle était prête et elle était calme, elle pouvait se contrôler. Cette pensée lui arracha un petit rire désabusé mais convaincu. elle souffla en ricanant légèrement un peu ironiquement

-Avec toi on a du mal a être détendu...

Elle rigola en pensant que oui, quoi qu'elle fasse ou qu'elle aille elle ne pourrait jamais lui faire confiance...

Foudre ne cessait de se demander, encore et encore ce qu'il pouvait trouver chez cette chatte, il n'arrivait pas trop à le dire, rien que ça beauté et son caractère ainsi qu'un petit quelque chose s'autre qu'il n'aurait su dire quoi. Il pressa d'avantage ses hanches contre la femelle avec un plaisir non dissimulé, il n'avait jamais autant eut du plaisir, il fut même étonner de constater que le sang, si vital pour lui comme l'eau ne l'obsédait plus en ce moment, pour une fois, concentré à autre chose. Tout en lui était devenu euphorique, continuant d'appuyer contre le bassin de la femelle. Foudre humait le doux parfum d'Ebène, presque différente de celle d'avant, pourquoi ? Pourquoi cette odeur si alléchante. Le moment le plus intense de toute sa vie, quelque mouvement des pattes, il resta ainsi un moment guider par un instinct presque plus fort que celui du tueur, l'acte sexuel était plus violent qu'il ne se l'était représenté, mais violente dans le bon terme, une multitude de sensation, aussi agréable qu'excitante.

-Avec toi on a du mal a être détendu...

Il fixa Ebène, continuant de lui lécher la nuque et le sang, enfin, il se détendit légèrement, lentement, comme à contre cœur il se détacha de la jolie femelle continuant à lui lécher le flanc pour l'inciter à rester coucher, il lui lécha le ventre, automatiquement la femelle se coucha sur le dos, Foudre continuait de la lécher ainsi un moment, sur la fourrure mais également au rares endroits ou elle n'en avait pas... Il la fixa de ses yeux jaunes et calculateur, terrifiant, redresser, la dominant de sa hauteur, comme s'il voulait profiter encore de sa supériorité, il se détendit de nouveau, ses lèvres se fendant un sourire étrange et glacial à la fois:

- On devrait remettre ça plus souvent. Ricana t-il bien que sa voix avait une pointe d'envie. Un plaisir autre que la souffrance, voilà qui restait nouveau pour lui...

Tout cela avait été violent et excitant, elle le sentis s'écarter légèrement, continuant a la lécher pour qu'elle reste allonger, elle se mise sur le dos et le regarda se mettre au dessus d'elle. Elle plongea son regard dans le sien. Il la dominait mais dans son regard on y voyait clairement du désir noyé dans un air hautain. Il semblerait que ça lui avait plu. Elle passa sa patte sur sa joue d'une manière délicate, puis lui passa sa truffe contre son torse, descendant un peu plus bas puis remonta jusqu’à sa truffe qu'elle lécha langoureusement avant de continuer a plonger ses yeux dans les siens, se noyant dans son regard or et teinté d'une douce lueur écarlate. Elle passa sa queue sur son échine et plaça ses pattes sur ses épaules puis sur son poitrail pour passer sur son ventre. Elle souris, il la dévorait du regard, il était en position de force et elle se doutait bien qu'il y prenait un malin plaisir, c'était sa nature après tout. Elle le regarda s'écarter un peu

- On devrait remettre ça plus souvent.

Elle souris a cette phrase et il s'écarta un peu, elle le retint du bout de la queue, celle ci passent sur son menton d'une manière doucereuse et se dirigeant vers sa nuque. Elle ronronna de nouveau, et l'invita a s'allonger près d'elle puis elle se remit sur le dos, s'installant dans l'herbe friche, profitant de la brise qui dissipait petit a petit l'odeur étouffante et la chaleur ambiante. Elle observa la lune et un éclair cruel et malsain passa dans ses yeux. Elle souffla en agitant les oreilles tout sourire

-Tu as absolument raison... J'en conclus que ça ta plu ?

Foudre pris une grande inspira comme si, jusqu'à présent il avait retenu son souffle Il était difficile de croire qu'il l'avait fait. Pourquoi avec cette chatte ? Pourquoi avec elle absolument ? Ca, s'était une réponse qu'il ne put donner... Foudre s'était écarté d'un pas, comme pour se calmer, faire redescendre la pression et l'excitation qui le faisait presque trembler. Son sourire de coin, ses yeux qui brillaient intensément, dévorant toute entière Ebène qui était à lui dès à présent Ebène retint Foudre pour le rapprocher d'elle, celui-ci résista un instant mais la tentation trop forte le poussa à s'approcher, lentement. Foudre en était presque séduit cependant, il n'état pas du tout le genre de mâle à tomber si vite sous le charme. A vrai dire, ça n'était jamais réellement arrivé sauf peut être avec Pluie d'Eté, cependant, Foudre ne comptait pas laisser le plaisir à Ebène ni la prétention de pouvoir annoncer un jour qu'elle avait charmer un mâle d'habitude aussi sentimental qu'un iceberg! Une chose était sûr, l'expérience était loin d'avoir déplu Foudre et comme si Ebène lisait dans ses pensées, elle lança d'une voix toute naturelle:

-Tu as absolument raison... J'en conclus que ça ta plu ?

Son étrange sourire devint sournois, puis se radoucit quelques peu. Les caresses d'Ebène le firent frémir, Foudre s'allongea, malgré que ce soit terminé, il continuait à lécher Ebène, son plaisir lascif, il émit un ronron de bien être, se félicitant intérieurement. Jamais il n'aurait cru pouvoir la posséder mais voilà qu'elle était sienne à cela, elle ne pourrait jamais l'oublie, Foudre était du genre très possessif et dominant. Il lèche l'échine de la femelle doucement, de tout son long, de son désire non dissimulé. Il s'arrête, s'assoit, l'air satisfait et susurra:

- Tu es tout à moi Ebène, ne l'oublie pas, maintenant il n'y a plus aucun retour, tu es mienne, s'est ainsi.

Il continua de passer sa truffe et sa langue là ou il pouvait pour apprécier encore un moment où il se sentait étrange, presque bien...

ébène posa sa tête contre son torse et huma la douce odeur de sang qui émanait de celui ci. Elle se sentais bien, ce n'était pas vraiment comme si elle était fière d'elle mais presque, elle regarda foudre en souriant, lui aussi semblait heureux et fier de lui, il avait l'air d'avoir véritablement apprécié le moment. Elle était heureuse, même si elle savait que à présent il n'y avait aucun retour en arrière possible et que elle était sienne jusqu’à la fin de ses jours, elle ne regrettait rien, ça ne signifiait pas qu'elle ne serait plus libre. Juste enchainé a foudre par d'autres liens, qu'elle n'aurait en aucun droit de le trahir, de toute façon elle ne comptais pas le faire car si elle avait vraiment rencontrer un mâle qui lui plaisait c'était lui, lui et personne d'autre. Tempête lui revint en tête, elle observa pensive leurs reflets noirs tel des ombres onduler dans l'eau sous la brise. Elle ne l'aimait plus enfin ils ne s'aimaient plus, elle avait eu des chatons et elle se demandait si ce n'était pas une erreur... Elle haussa les épaules et un rictus cruel fendit sa bouche, plus pour elle même. Elle frôla la truffe de foudre en souriant gentiment. Elle se lova contre lui et observa la lune, comme en raisonnance a ses pensées il dit

- Tu es tout à moi Ebène, ne l'oublie pas, maintenant il n'y a plus aucun retour, tu es mienne, s'est ainsi...

Son sourire s'élargit un peu plus et elle se tourna un peu pour pouvoir plonger son regard dans le sien. Bien sur qu'elle le savait, elle n'était pas idiote de se lancer dans une aventure avec le tueur le plus réputé du coin et ne pas en connaître les conséquences... Cela lui plaisait et elle ne regrettait rien, cela dut se voir dans ses yeux. elle se lova encore plus contre lui, plus aucun espace intime entre eux, plus aucune limite. Comme si cette expérience leur avait appris a ce connaître un peu plus, ce qui était forcément vrai d'ailleurs. Elle regarda de nouveau la lune puis elle regarda parmi les étoiles comme si elle cherchait quelque chose ou quelqu'un... Elle rigola d'un rire clair

-Bien sur, pas d'inquiétude... Je m'y était préparé.

Les yeux du matou noir brillèrent comme des lucioles dans la nuit noir. Il ne devait pas être si tard que ça, Foudre estima être le milieux de la nuit. Il connaissait mieux les horaires du soir, l'heure auxquels il était le plus réactif... Plus il faisait noir, plus les prédateurs devenait nombreux mais Foudre en craignait aucun, il avait toujours vécu parfaitement serein depuis la mort de son Maître... Le matou noir continuait à toiser Ebène de son regard calculateur et sans gêne. Il avait réussi à obtenir Ebène sans même user de la force mais Foudre bien que le félin le plus indigne de confiance qu'il soit n'avait cependant pas pour habitude de collectionner les conquêtes. Au contraire, il ne s'était jamais vraiment intéressé au femelle, la seule chose qui jusque là l'avait attiré chez les femelles restaient leur sang d'avantage meilleur. Oui, il y avait bien Pluie d'Eté, cette chatte d'exception, bien sûr...

Au tout début de leur rencontre, Foudre avait été attiré par Ebène pour son physique séduisant et différend des autres, mais il avait envisagé de la tuer une fois lassé d'elle. Etonnement, il comptait là faire une exception de ses principes, il voulait Ebène rien qu'à lui et Foudre pouvait se montrer possessif et violent... Surtout depuis qu'il savait qu'Ebène avait des chatons et avait un autre matou dans sa vie. Peut être ne l'aimait elle plus, peut être était il mort, peut être qu'elle ne resterait pas insensible au charme de celui que Foudre appelait à présent " L'ancien compagnon d'Ebène" Cependant, peut importe ce qui était arrivé à son compagnon, une chose est sûr, Foudre était certain qu'Ebène pouvait facilement ne plus aimer un mâle mais elle aimerait toujours ses chatons. Ses yeux réduits à deux fentes brillèrent avec plus d'intensité et de malveillance. Il s'en fichait pas mal de la réaction d'Ebène surtout que celle-ci avait surement dû se douter des conséquences de leur lien... Foudre n'avait désormais aucun autre objectif en tête, le sang d'autre victime pourrait attendre car... Quoi de plus délectable que le sang des chatons de la belle solitaire tueuse ? Ebène était à présent toute contre lui, le matou noir releva la tête un instant, avec un sourire de coin, ses yeux tournant automatiquement vers la gorge de la femelle. Malgré tout, Foudre jubilait de savoir qu'à tout moment il pouvait la tuer, qu'à tout moment il pouvait la plaquer au sol et faire d'elle ce qu'il voulait.

-Bien sur, pas d'inquiétude... Je m'y était préparé.

Il étouffa un petit ricanement, il n'était pas tout à fait sûr qu'Ebène s'était préparé à perdre un ou deux de ses petits voir plus avec un peu de chance! Tout en cette chatte était si affriolant... Il n'aurait aucun remord ni aucun regret et détruire la vie qu'elle avait donné. Ses chatons. Il passa sa gueule sur la fourrure d'Ebène, ses crocs découvert frôlèrent la chair de la femelle, jusqu'au flanc. Il se lécha les babines.

- Je ne suis pas sûr que tu connais toutes les conséquences! Insista t-il comme une mise en garde.

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