Summer's Poetry

Tout d'abord, une Petite Introduction.

♫ Je tiens à préciser que le plagiat est interdit par la loi, que je ne le tolérerais pas, et blablabla, etc. OK, je n'écris pas merveilleusement bien, mais on ne sait jamais, et vu le temps que j'ai passé à écrire ces poèmes, je préférerais qu'on ne me les pique pas.

♫ Je voudrais aussi remercier mon professeur de français (je vous adore, monsieur ♥) pour m'avoir fait découvrir la poésie lyrique et m'avoir encouragé à écrire.

♫ Enfin, ce que j'écris est très personnel et pas forcément compréhensible. Donc si vous ne comprenez pas ce que ça veut dire, sachez que c'est normal. La poésie peut parfois être abstraite.

♫  Les critiques sans explication du type : "j'adore parce que c'est génial" ou "c'est nul parce que j'aime pas", non merci. Essayez, si possible, de développer au moins un peu. Par contre, les commentaires et appréciations constructifs/ves sont les bienvenues.

Après cette petite intro, je me lance enfin dans le vif du sujet. Chaque poème est clos par une ligne horizontale. Certains sont titrés, d'autres non.

Bonne lecture ! ♥

Le vieux volcan semblait sommeiller
Aussi immobile que j'étais silencieuse.
Puis des flammes jaillissent ! et, comme cette étendue de lave houleuse
La colère tremble dans mon âme embrasée
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Là-bas

Là-bas, la Nature a repris ses droits
Partout, vertes collines ou bien immenses bois
Et loin, loin derrière un rideau de mousse
Je distingue enfin cette lumière si douce

Là-bas où chacun ne peut que se plaire
M'attendent je l'espère tes bras grands ouverts
Là-bas, j'irais, quand le soleil se lèvera
Et je t'y trouverais, et tu m'embrasseras

Car tu es la mer et je suis la rivière.
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Dans les profondeurs de mon âme
Entre des abîmes d'émotions
Nagent d'étranges poissons
Ce sont mes idées, brillantes comme des flammes.
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Je ne suis qu'un fantôme qui hante tes pas
Pareille à une ombre, toujours là derrière toi

Je compte les pas qui me séparent de toi
Comme autant de limites à ne pas franchir
Mais si je le faisais, je te dirais cela :
« Sache que c'est pour toi que je respire. »


Ceux-là sont des haïkus (poèmes japonais de trois vers, souvent à propos de la Nature).

Une touffe de poils sombres                      
Une empreinte dans la neige                                          
Le loup est passé      
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Plonger dans la neige
Rire aux éclats
Malgré le froid
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Sur sa branche                                                            
L'oiseau ne chante plus                                                
Le froid de la nuit l'a tué                                                
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Les larmes qui gèlent sur tes joues
Comme de minuscules stalactites
Transpercent mon cœur