Mes pas me mènent où je le veux. Mais, qu'est ce que je fais ici ? [Sacrifice et Neige Éternelle]

Un petit bruit étrange me réveille soudainement. Mes yeux s'ouvrent automatiquements, mettant fin à cette courte nuit. Je suis seule dans la tanière des guerriers. Les corps d'habitude à côté de moi ne sont plus là. Mon regard fait le tour de cet endroit où je dors depuis peu. Je n'ai jamais bien trouvé le sommeil dans ce lieu étroit où je côtoie tous les autres. Je ne suis pas faire pour ça, mais je reste. J'en suis bien obligée. Quelque chose attire mon attention. Un mâle gris me fixe, un regard plein de colère.

- Qu'est ce que tu fiches encore là ? Va vite rejoindre les autres pour la patrouille de midi. Tu es attendue depuis longtemps ! Puis, je l'entend marmonner d'un voix qu'il croit que je n'entend pas, mais qui me parvient tout de même : Ah, ces jeunes recrues qui se croient tout permis depuis leur baptême. Elle n'aurait jamais dû être baptisée !

Cette fois, c'en est trop. Je sors en trombe, les yeux plein de larmes. Pourquoi tout le monde doit-il le détester ? Ce n'est pas ma faute si j'ai un caractère de chien ! Je file droit vers la sortie du camp. Les guerriers chuchotent sur mon passage, ce qui renforce ma colère. Et puis soudain, une quinte de toux me prend. Je suis obligée de m'arrêter tellement je suis surprise. Je n'ai aucun problème de santé ! J'irai voir Nuage de Nuit en rentrant. C'est sûr. Puis, après cet arrêt improvisé, je reprend la route vers je ne sais quel endroit. Je ne sais pas durant combien de temps j'avance, tantôt toussant, tantôt haletant, mais bientôt, mes pattes ne peuvent plus me porter et ma gorge me brûle. Je stope nette. Devant moi se tient une grotte que tous connaissent. Qu'est ce que je fous ici ? Je... Je suis arrivée jusqu'ici ? La Pierre de Lune se dresse devant moi, imposante. Un nouveau toussotement vient à mes lèvres et je ne peux le retenir. Je ne sais pas ce que j'ai, mais je ne me sens pas bien. Je m'assieds par terre et aperçoit bientôt un jeune mâle aux yeux surprenants.

Co... Une nouvelle quinte m'interrompit. Comment es-tu arrivé ici, petit ?

Mes pas me mènent où je le veux. Mais, qu'est ce que je fais ici ? [Sacrifice et Neige Éternelle] 176835tumblrm017waIBaL1r66t8po1500

Mes pas me mènent ou je veux. Mais, qu'est ce que je fais ici ?

Feat Neige éternelle.

C'était l'aube lorsque sacrifice se leva, il sortit dans la clairière et tendit l'oreille en entendant les battements apaisé du cœur des guerriers et leurs ronflements continuent. parfait pensa-il avec un sourire en coin. Il s'avança à pas menu vers l'entrée et remarqua un garde qui somnolait à moitié et il pesta en silence, il monta une petite pente et se glissa habilement sous des buissons épineux, il ressortit en se Le chant frénétiquement un coussinet dans lequel il c'était planté un bout de bois. Il descendis la vallée et commença à traverser les territoires neutre à pas calme, rien de tel que le calme et le silence, cela lui allait parfaitement, il traversa une frontière, celle du tonnerre sûrement sans vraiment y faire attention, concentré sur son environnement instable pour un demi aveugle.
Il marcha en silence, sentant avec délice la mousse sous ses pattes, son cœur battant au ralentit. Seul avec seulement les quelques piaillement des oiseaux frémissant dans les arbres. Il se dirigea vers un endroit qu'il connaissait bien, la ou ces souvenir aurait dut être douloureux. Il grimpa sur un amas de pierre, puis recommença avec une habilité surprenante, prenant garde a son angle mort pour ne pas glisser. Des petites roches dévalaient la pente sous ses griffes. Il finit par arriver en haut pas le moins du monde essoufflé, le visage impassible et calme. Il regarda l'endroit ou son frère était mort tué par foudre, sans une once d'émotion particulière. Il recula et se dirigea vers une petite grotte, il pénétra a l'intérieur sans une once d'hésitation, plus habitué au noir que d'autre. Il se dirigea vers le centre de la petite grotte, de l'eau perlant au dessus de la voute. Il s'assit, la tête en l'air, se demandant toujours pourquoi lui, pourquoi pas un autre...
Soudain un bruit se fit ressentir et il la sentit arriver avant qu'elle n’apparaissent a l'entrée. Il tourna lentement la tête et plongea son regard tumultueux, or et océan dans le sien. elle lui dit d'une voix entrecoupé par une quinte de toux

-Co...Comment es-tu arrivé ici, petit ?

Sacrifice ne dit rien, ses oreilles s'agitant de gauche a droite écoutant attentivement ses battements de cœur, qui étaient effréné et sa respiration qui était courte et entrecoupés de hoquet de douleur. Elle empestait la maladie a plein nez et cela fit froncer celui de sacrifice. Il la détailla plus attentivement les yeux réduits a deux fentes. Elle était plutôt de grande taille, de large épaule et une carrure musclé, une guerrière sans doute redoutable... Haute sur patte et un pelage blanc éclatant, plutôt épais et des yeux très clair, d'une belle couleur cascade ou ciel en été. Mais il y semblait régner une sorte de nostalgie, une immense tristesse, telle une voile noire de cendre les recouvrant. Sacrifice se leva, la dévisageant toujours de son regard dérangeant, d'après son odeur elle était une guerrière du clan de la rivière... Comme a son habitude le jeune chat détèstait faire causette et parlait peu, alors engager une conversation n'était pas son fort. Il poussa un léger soupire et s'approcha d'une démarche souple et s'assit en face d'elle. étant plutôt haut sur patte elle ne le dépassait que d'une tête. Son visage impassible ne trahissais rien, sa queue s'agita et il dit d'une voix neutre

-J'ai grimpé.

Il remua les moustaches légèrement amusé.

Je le vois s'arrêter et il commence à me regarder de ses yeux, bleu très clair d'un côté, comme de la glace, et or, d'un or si pur que je me demande s'ils sont vrais. Rien qu'en le voyant m'étudier, j'en ai la chair de poule. Comment s'est - il retrouvé avec ça ? C'est si troublant...Et puis, comment je fais pour être effrayé par un mâle si petit et adorable ? Celui - ci semble trouver un malin plaisir à me faire attendre. Lentement, très lentement, il commence à se lever et il continua son petit manège, tout en agitant la queue. Au moment où je commençais à avoir envie de l'étouffer, il me fixa d'un air neutre et me dit d'une façon étrange, comme ce qu'il est :

- J'ai grimpé. répondit - il simplement.

Là, j'avais vraiment envie de lui sauter dessus afin de le tuer. J'avais attendu trois heures, au comble de ma patience, qui n'est pas énorme, et comme récompense, je recevais une misérable réponse. Le mâle paraissait content de sa réponse et je cherchais dans ses prunelles la moindre pointe d'amusement, même si au fond de moi, je savais qu'il ne s'amusait jamais. Je le savais, mais je ne sais pas pourquoi. Sa vi ne doit pas être très facile...

- Et bien, tu as du beaucoup grimper ! Je m'interrompis un peu pour essayer de lui faire le même coup. Je t'ai parlé, mais je ne connais pas ton nom. Qui es-tu ?

Mes pas me mènent ou je le veux. Mais, qu'est ce que je fais ici ?

Feat Neige éternelle

Après ma réponse, si simple et si factice, la chatte sembla sur le point de me sauter dessus. Je remuai de nouveau les moustaches, elle semblait alors trépigner et bouillonner, pesant le pour ou le contre. Elle n'était apparemment pas très patiente, contrairement a moi, c'était plutôt mon point fort. Je ne m'en vantais pas et cela énervait souvent les chats colérique et peu apte a l'endurance. Moi je ne parlait vraiment pas souvent, presque jamais pour ainsi dire, peut être même juste quand je jugeai ça utile... Je ne recherchais pas la compagnie et ne me plaignait pas lorsque les autres m'évitaient. Je devais être bizarre mais sincèrement je me fichai bien du jugement des autres. Elle me détailla attentivement avant de plonger sa prunelle dans la mienne comme a la recherche de quelque chose. Elle finit par prendre une sorte d'expression de... tristesse. Je serre les crocs, je n'avais pas besoin que l'on me prenne en pitié moi le pauvre petit chaton borgne et faible... J'inspire et souffle doucement, pas d'agacement mais parce que j'avais mal. Je dit d'une voix neutre et impassible, le visage froid

-Mon nom est sacrifice du clan des félins. Et toi donc ?

Un tic m'agite l'épaule, je la bouge un peu en fronçant les sourcils. Depuis maintenant un petit moment j'avais mal au dos, ou plutôt vers le début en partant de la nuque, pile au milieu des omoplates. Une sorte de tiraillement malsain, devenu de plus en plus fort, de plus en plus désagréable et surtout plus douloureux... Peut être que je me suis je cogné m'étais dis je en premier temps, mais a présent je n'y pensait plus trop... Cela me rongeait, se propageait plus loin le long de l'échine et de la colonne. Parfois en marchant j'avais même l'impression que quelque chose bougeait, se mouvait, poussait a l'intérieur de mon corps... Cette pensée me fit frémir et je l'écarta en agitant la queue. Pourtant même si j'essayais de l'ignorer je ne pourrais pas, j'avais même l'impression que quelque chose clochait. Comme si la chose qui poussait en moi depuis si longtemps allait se réveiller et sortir et rien que d'y penser j'en avais la nausée... Une goutte s'écrasa sur ma truffe, elle perlait de la goutte comme cent autres et aux premières lueurs matinal, brillait en tout sens. Je ferma les yeux quelques instants, mais un éclair de douleur me vrilla la colonne vertébral, partant du bout de la queue pour remonter jusqu'à ma nuque ce qui me tendit comme un arc. J'avais des papillons noirs qui passaient devant les yeux que je plissais, serrant tellement les crocs qu'ils en grinçaient, mes griffes crissant sur la roche dur et froide. Ce n'était pas qu'un pressentiment, ça allait bien sortir aujourd'hui. Je n'osais plus respirer mes poumons oppresser par quelque chose, j'avais mal, si mal. Mais que cela pouvait il être, allais je devenir un monstre ? Soudain quelque chose me revint en mémoire... La prophétie. Oui bien sur ! cela devait avoir quelque chose avec la prophétie ! de toute façon j'étais déjà un monstre, autant laisser couler... Je n'avais pas peur, je n'avais pratiquement jamais peur, même lorsque foudre a tuer mon frère et c'est avancé vers moi. Non c'est pas maintenant que je ressentirai de la peur, c'était sans doute passager et je m'appretais a encaisser la douleur. Les yeux clos, comme en face d'un vide vertigineux, le sang battait a mes tempes, me calmant petit a petit, la douleur toujours la. Je savais que le pire était a venir mais je ne savais pas si c'était maintenant ou plus tard. La chatte était toujours présente mais je ne pouvais pas partir et encore moins bouger, j'étais coincé.

[C'est dans ton rp que je fais apparaitre mes ailes pour la première fois X) donc ne t'étonne pas !]

Le jeune chat n'avait pas l'air d'aimer la façon dont je le prenais en pitié. Je ne sais pas pourquoi, mais il m'inspire un peu la mélancolie. Pourquoi erre-t-'il tout seul ? Il doit bien avoir une mère, non ? Rien qu'essayer de m'imaginer celle-ci, j'ai la frousse, même si ça paraît débile. Le mâle inspira et souffla, doucement, pour me montrer qu'il était agacé. Je décidais d'arrêter, mais je le couvais toujours d'un regard plein de tristesse. Si j'avais des chatons, je voudrais qu'ils soient comme eux, une source de larmes. C'est bizarre, mais cette sorte de caractère me plait. Encore fait-il que je trouve un compagnon... Le chat me fixe alors de ses yeux froids et me répond, toujours avec la même voix sèche et dépourvue de la moindre douceur :

-Mon nom est sacrifice du clan des félins. Et toi donc ?

Sacrifice... Un nom lourd à porter, mais qui n'a pas l'air de lui poser problème. J'ai plutôt l'impression qu'il est fier de l'avoir. Et puis, il vient de ce Clan de pacifistes que l'on a chassé il y a bien longtemps. Je me disais bien qu'il avait une odeur familière dont j'avais envie de sentir. Ça faisait longtemps. Un petit crissement m'attire hors de mes pensées. Sacrifice -je l'appelle enfin par son nom- semble crispé. Il a les crocs sortis et semble lutter contre quelque chose de l'intérieur. Je ne peux m'empêcher de faire un pas de recul. Là, tout petit, j'ai l'impression qu'il est si frêle qu'il pourrait s'effondrer, plaqué par la douleur. Mais, qu'a-t-il ? Il avait l'air à la fois angoissé et à la fois... C'était quelque chose d'inexplicable. J'avais envie de venir le secouer, de l'aider, mais je restais clouée au sol, comme une lâche.

Soudain, deux choses pleines de plumes sortirent de ses deux côtés des hanches. Deux... Deux... Je ne pouvais pas dire ce que c'était. Ce que seuls les oiseaux portent, pas les chats ! Des ailes.. C'était des ailes' ! Des vraies ! Comme celles que je rêvais d'avoir ! Et elle lui avait poussé dessus, comme si c'était normal. Une petite jalousie me rongeait le cerveau. Et aussi, je sentais l'envie de l'aider à s'envoler. Je ne pût que murmurer, trop impressionnée.

- Wawh.

[J'adore la tournure que prend le rp. Au fait, j'adore aussi ton rp. Tu t'améliores beaucoup trop vite ! Bravo ! ]

Mes pas me mènent ou je le veux. Mais, qu'est ce que je fais ici ?

Feat Neige éternelle

Je m’apprêtai a tenter un mouvement pour pouvoir bouger, j’avançai une patte un peu tremblant lorsque ça arriva. Je ne compris d'abord pas ce qui se passait, plus de douleur, plus rien, juste un craquement.Puis un autre et encore un.J'avais l'impression que mon dos avait triplé de volume et que mes sortes d'excroissance s'entrechoquaient a chaque mouvement, mon dos avait gonflé et il était devenu insensible, monstrueux, chaos de souffrance indistincte, mais a la place je percevais différemment chaque choc, comme si ce qui entrait en contact avec ma chair traversait mon corps entier. Une sensation fulgurante de déchirure me cloua sur place, et je hurlais ma douleur dans un cri silencieux, un nouveau pic et je me retint de m'écrouler, des taches noires dans ma vision. Je restais d'abord paralysé, attentif aux sensations foudroyantes qui rayonnaient le long de ma colonne vertébrale, tentant, immobile, de décrypter la situation, j'étais malheureusement pas en état de réfléchir, l'esprit embrumé par la douleur malsaine et sourde qui s'imisciait dans ma tête. J'avais senti de nouveau une rupture, plus forte que les autres, comme si quelque chose resté longtemps bloqué venait de se décoincer d'un seul coup, arrachant au passage ce qui le maintenait autrefois dans sa position. Comme un ressort qui se serait détendu en moi, comme un bras qui se déplie. La longue arrête de ses deux bosses entre les omoplates, qui les avaient traversé verticalement s'était divisé en deux et tendait a présent la peau sur une plus grande longueur menaçant de la déchirer. Merde c'est pas le moment ! mais avant que je puisse faire quoique ce soit, je sentit quelque chose dans mon dos craquer, briser et se tordre tandis que mes excroissances se déformaient de plus en plus, forçant ma peau malmenée a s'étirer encore davantage. Jusqu’au limite de ma résistance. Puis ça céda, j’eus l'impression que enfin ma peau se déchirait pour laisser passer la chose dont je ne comprenais pas le sens. J'avais toujours les yeux clos, une dernière vague de douleur me fis trembler puis plus rien, juste un petit écho du mal, sourd et désagréable. Je m'autorisais a ouvrir les yeux. Je ne comprenais d'abord pas ce qui se passait, je sentais que quelque chose avait changé. La chose était sorti comme un oisillon sortit de l’œuf, je sentais aussi des filets de sang et de liquide transparent couler le long de ma fourrure et goutter au sol. Le silence, je déglutit. Je ne sentais plus vraiment mon dos, je me risquais un coup d'oeil en arrière et j’eus l'impression que le temps s'arrêtait. C'était grand, très grand, et ça trainait par terre misérablement. Toujours accroché a mon dos, c'était couvert de plume d'un noir jais d'encre, semblable a celle des corbeaux. C'était... Des ailes. Oui, des ailes comme celle qu'on les oiseaux, en beaucoup plus grande, deux tiges fines et longues, élégante et superbe. Je cilla un instant, et tenta de les faire bouger sans résultat convaincant a par un léger frémissement. Je ferme les yeux bouge ! Elles frémissent de nouveau, elles ne sont surement pas encore connecté aux nerfs de mon cerveau, mais même d'ici je sentais une sorte de chaleur les envahir, tandis que le sang se diffusait en elle, elles prenaient petit a petit vie. J'attendis un peu, assez pour entendre une voix lointaine une petite exclamation. J'avais pratiquement oublié la chatte a côté de moi, tellement j'étais absorbé dans la contemplation de ce qui faisait a présent partis de moi. Inconsciemment mes ailes bougent et se replient tout doucement, avec lenteur encore engourdi, contre mon dos, entre mes omoplates. deux légères plaies le fendent en v, mais étrangement elles ne saignent pas. Je ne ressentais vraiment rien, mais quelque chose me dit que la douleur reviendrai et que cette sensation de bien être, un peu embrumé n'était que passagère. Je frémis et tourna lentement la tête, des petits pics de douleur dans la nuque, vers la chatte et la dévisagea sans vraiment la voir. Je ne savais pas quoi dire non plus, je me sentais étrange. Un peu choqué ou dans les vapes, je ne pus que dire d'une voix un peu incertaine, comme dans un souffle ou un murmure a peine audible

-La prophétie...

j'avais dit ça et maintenant je serai obligé dans savoir plus. Je devais retourner voir les autres élus pour leur dire que leurs ailes apparaîtront bientôt si ce n'est pas déjà fait donc pas d'inquiétude. Je pensais à autre chose qui me tirailla l'esprit, Océan avait parlé de pouvoir, contrôle des éléments notamment... cela me fit frémir est ce que ce n'était pas finit ? Il y allait encore avoir quelque chose? Je ferma les paupières quelques instants pour bien digérer l'histoire.... puis je les rouvris pour les plonger dans ceux de la chatte. Déterminé, je n'avais pas peur. Mes ailes à présents irrigués par le sang, frémissaient à présent comme mué par un ordre ou comme doté de vie. Je les déployait en coup de vent et savoura le fait de sentir cette nouvelle partie de moi. J'inspire profitant aussi du fait de ne plus sentir mes poumons oppressé.

[C'est bon x) deso j'avais pas trop le temps de rep donc vala]

l C'est toujours en cours ? J'éditerai dans le cas contraire l

[Ce n'est plus en court depuis mon départ tu peux rép ! XD]

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