hello sunshine — nuage du vie

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HELLO SUNSHINE
— NUAGE DE VIE —
Le soleil venait à peine de se lever que lieutenant était déjà debout. Toujours debout à l'aube, on se demandait s'il dormait. Ce qui était un peu légitime quand on pense que ce monstre pouvait passer des journées entières à chasser et se lever à l'aube pur recommencer la même chose. Toujours est-il que en cette belle matinée, Messager des Nébuleuses était debout et attendait visiblement que quelque chose daigne arriver. Le camp du tonnerre était... oui, on peut le dire, complètement vide. La vie et la joie qui l'avait inondé sont parties depuis que les patrouilles ont du être doublée et que la saison des feuilles mortes est passé par là. Dans son esprit encore était gravé les cris de désespoir d'une femelle qui avait perdu ses chatons, le lieutenant ne serait sans doute jamais père - on pouvait dire là que son clan était comme ses enfants - et chose certaine, il ne porterait jamais d'enfant dans son ventre. Il ne pouvait pas comprendre leur douleur et face à cette absence de réponse il restait indifférent. Ce n'était plus tellement les cris qui lui faisaient mal, mais son incapacité à ressentir une quelconque empathie envers ces personnes le frustrait.

Il affrontait sans cesse les regards noir, l'incompréhension. Comment leur dire qu'il était d'autant plus désarmé qu'eux ? Il n'avait pas les mots. Et Messager déteste ne pas avoir le dernier mot. Le matou se prélassa au soleil la matinée durant, les derniers altercations dans sa vie lui laissait des cicatrices, ses muscles étaient usées et malgré son jeune âge la fatigue et la lassitude guettait au loin. Dans certains moment, vraiment, il détestait son cerveau, son esprit et tant qu'il y était sa taille. Même si le fait d'être plus grand que la moyenne et de pouvoir se montrer au dessus de tout le monde le rassurait, il admettait que dans certains moments ça le rendait pompeux et une chose à savoir : il n'est pas pompeux. Il n'aime pas vraiment l'image noble qu'on lui colle à la peau, mais il s'en sert de temps en temps et peut au moins profiter d'avoir l'image d'un lieutenant exemplaire. Même si en plus de mentir sur ces véritables destinations, il devait maintenant mentir au fond, sur lui même. C'est un apprenti qui le tira de ses pensées et les grommellement d'un ancien. Il se leva pour aller voir la dispute. Sous le soleil ses cotes saillantes ondulaient avec grâce, même le ventre remplit s'était un chat squelettique. De sa hauteur vertigineuse pour un petit matou il demanda à.. Nuage de Vie,c'est ça, ce qui se passait.

— Que se passe t-il ?

Il n'avait pas ce ton formel qu'il pouvait avoir en dehors de son camp, non, mais cette voix tremblante et peu sure d'elle mais infiniment douce et emplie de douceur. Il admirait la jeunesse et son insouciance. Il admirait cette chose qu'on lui avait volée...

— Nuage de Vie, viens donc avec moi. On va discuter un peu si tu veux, où est ton mentor ? Euhm... bon viens.

Il passa sa queue sur son épaule et l'accompagna jusqu'à la tannière des apprentis, comme un père le ferait. Il ne pouvait pas mettre un nom sur la tête de son mentor... qui étais-ce déjà ? ...

Invité

Je me réveilla à l'aube ce matin, peut-être que j'etait excitée de ma nouvelle journée en tant qu'apprentie ? Hier j'avais appris à chasser les souris et les mulots, même si je savais quelques trucs sur la chasse. Du temps où j'etait solitaire après la mort de mon père je devais chasser pour moi et ma mère mais je n'etait qu'un chaton de 4 lunes je n'arrivait jamais attraper une proie, ma mère me grondait que j'etait une incapable elle avait un ton dur dans ces moment là, je pense qu'elle vulait que je ressemble à mon père, je la comprenait, elle était triste et déboussoler. Hier j'ai trouver ça vraiment intéressant, j'ai même réussit à chasser une souris que j'ai immédiatement apporter aux anciens. Merci le clan des étoiles pour m'avoir guidé jusqu'ici, je suis heureuse maintenant, je'ai quelqu'un sur qui je peux compter, ma mentor...
J'etait toute courbaturer aujourd'hui, je me leva avec quelques douleurs aux pattes, je m'étira et alla dehors pour voir ce qui ce passait, j'avait entendu des éclats de voix, j'arriva au centre du camp.

Le lieutenant arriva devant moi, je le regarda avec attention il était grand, c’était ce qui lui donnait un air de chef "il porte vraiment bien son rôle" pensai-je

- Que se passe t-il ?
Il avait une voix douce, de plus elle tremblait, cela me fit pensait à mon père mort il y a peu dans une grange. Il m'arracha à mes pensée

— Nuage de Vie, viens donc avec moi. On va discuter un peu si tu veux, où est ton mentor ? Euhm... bon viens.

je le regarda quand il passa sa queue sur mon épaule, je me sentie en sécurité et une vague d'assurance et de confiance m'envahit, malgré tout j'avais une voix aigu et presque je murmurai mes mots était entrecoupées par des bouffées d'air, j'etait trop timide, il fallait que je la combatte
-Je ne sait pas, je viens de me lever...mon mentor c'est Etoile De Lune... et de quoi va t-on discuter ?

je vis qu'il m'amenait à la tanière des apprentis, je me demandait ce qu'il allait me dire et pourquoi allait-on dans un endroit comme celui-ci, malgré que le clan ne soit pas grandement peuplé la tanière restait quand même un endroit visité

Invité

HELLO SUNSHINE
— NUAGE DE VIE —
La tannière des apprentis n'était pas le lieu le plus calme du camp, mais elle avait l'avantage d'être plutôt petite et d'offrir des corniches où l'on pouvait s'abriter. L'astre soleil brillait avec une insistance qui laissait le Lieutenant en nage, il n'aimait pas tellement cette sensation, comme-ci son pelage entier allait prendre feu à la manière d'un héros d'une prophétie lointaine. Même si ce n'était pas non plus quelque chose d'agréable, il préférait sans hésitation le froid, voir s'échapper de ses lèvres des volutes d'une fumée blanchâtre lui rappelait à quel point la vie était vaine et insignifiante, comme de la poussière s’envolant au gré du vent. Il se demanda tout même, jusqu'où le clan des étoiles allait les guider, demain lui semblait de plus en plus sombre et ensanglanté, il sentait qu'une guerre se préparait. A partir d'un certains temps, vous arrivez à savoir quand ce genre d’événements pointent le bout de leur museau, c'est dans l'air. Comme du souffre prêt à encrasser vos poumons et vous arracher à la vie, comme la plus dangereuse des drogues que vous ne pouvez que respirer jusqu'à l'overdose. Le guerrier, bien que taillé pour le combat, n'aimait vraiment pas se battre. Mais l'adrénaline n'était pas surmontable, une fois dans ses veines il savait qu'elle pouvait le contrôler.

C'est son respect pour la vie qui pouvait reprendre le dessus, mais à force de voir tant de chats sans pitié qui tuent sans se poser une seule question, il commençait à remettre en cause cette pensée ancrée au plus profond de son âme. Si le clan des étoiles laisse les meurtres et la mort régner sur les clans, alors peut être oui, peut être que c'est une bonne chose. Que c'est ce qu'il veulent. Et tout ce que veut Messager des Nébuleuses c'est respecter la voix divine des ancêtres, eux seul dirigent sa misérable existence. — -Je ne sait pas, je viens de me lever...mon mentor c'est Etoile De Lune... et de quoi va t-on discuter ? — Comment avait-il pu oublier ça ? Bien sur que son mentor était Etoile de Lune, son grand et fidèle meneur. Messager des Nébuleuses admirait le chef du clan du Tonnerre et en même temps il regrettait amère certains de ses choix, déjà ce là. Pourquoi l'avoir choisi lui ? Il y a bien assez de guerriers loyaux pour être lieutenants, pourquoi avait-il fallu qu'il jette son dévolu sur l'être névrosé et instable qu'il était ? Souvent on lui disait qu'avoir conscience de ses soucis était une façon de la surpasser mais il voyait assez mal comment aller contre sa façon d'être puisqu'elle faisait partie de son identité propre et qu'a moins de mentir encore plus qu'il ne ment déjà, il n'y avait aucune façon d'aller au delà de ces soucis. Pour le moment la priorité était d'aider Nuage de Vie.

Quand ils avaient recueilli ce jeune chaton, il avait affirmé être orphelin et venir des terres de solitaires, avec toute la bonté qu'il avait, le lieutenant s'était efforcé d'accepter ce chat venu de ceux qu'il haïssait tant. Malgré sa grande empathie pour le monde, il n'arrivait décidément pas à pardonner à la "racd" solitaire d'avoir égorgé et torturé son mentor, son cher et précieux mentor. Il apprenait à survire à cela, mais le choc était toujours aussi vif et sans doute la cicatrice serait toujours visible.

— De quoi allons-nous discuter ?

Il le fit asseoir dans un coin tranquille de la tanière, à l'ombre du soleil était assez éloigné du vacarme habituel pour pouvoir s'entendre et parler en privé. Le guerrier voulait justement parler de son passé, il doutait de sa loyauté. Inutile d'aller contre ses pensées il savait qu'il doutait, même si son coeur voulait faire confiance à ce petit. Il voulait juste...en savoir plus. Savoir si un jour il n'allait pas retourner sa veste et s'(il ne jurait pas foi qu'en sa liberté passée.

— Nous allons parler de toi, je m'excuse déjà si je dois... faire ressortir des mauvais souvenirs. Mais d'expérience, je sais que le dialogue est important dans le deuil, quel qu'il soit d'ailleurs.

S'il n'avait pas manqué de dialogue, il aurait été mieux dans sa peau, dans sa tête et ne serait pas à harceler les apprentis pour essayer d'être leur père de substitution, car c'est ce qu'il faisait s'en pour autant en être pleinement conscient. Il n'était pas tout à fait de lucide de ses actes, la lucidité même, le concept, échappait à son esprit.

— Alors comme ça, tu nous viens des terres sauvages où aucun clan ne vit ? Comment c'était ? Comment était ta vie, pourquoi nous rejoindre ? La liberté à bien plus d’avantages qu'une vie de loyauté et de services.

Invité

Il me fit asseoir dans un coin reculé de la tanière, je me demandais ce qu'il allait me demander, j'attendis quelques instant tout en scrutant la tanière, il m'arracha de mes pensée

— Nous allons parler de toi, je m'excuse déjà si je dois... faire ressortir des mauvais souvenirs. Mais d'expérience, je sais que le dialogue est important dans le deuil, quel qu'il soit d'ailleurs.

Je vis qu'il était mal à l'aise, je le regarda dans les yeux. Il voulait plaire au clan, si je demandais à d'autres chats du clan je suis sûr qu'il répondrait qu'il était comme un père.

— Alors comme ça, tu nous viens des terres sauvages où aucun clan ne vit ? Comment c'était ? Comment était ta vie, pourquoi nous rejoindre ? La liberté à bien plus d’avantages qu'une vie de loyauté et de services.

Je détourna le regard, soudain ma bouche devint sèche, une déferlante de souvenir tomba sur moi, mes yeux devinrent humides, j'inspira à fond pour chasser les larmes qui montaient et dit d'une voix la plus assuré que possible.

- On vivait dans une vieille grange de bipède et il y avait un grand champ, c’était giboyeux là-bas... On vivait heureux et on mangeait bien mes parents et moi, Les mulots et les souris sont abondante et elles sont plutôt engraissées, rien à voir de celles d'ici. La grange puait l'humidité et le foin aussi mais c’était plutôt supportable. La vie était simple on avait pas de code. Mon père venait apparemment d'un clan, mais je n'ai jamais su lequel, il n'en parlait pas... Il nous a donc parlé du clan des étoiles, j'y est toujours cru et ce sera jusqu’à ma mort, je pense que c'est nos ancêtres qui m'on conduit ici. Ma vie était douce et joyeuse jusqu'à un jour... Mon père m'apprenait des choses sur la chasse et sur le clan des étoiles quand tout à coup on entendit un grognement, je sentait que ça puait mais je ne connaissait pas cette odeur, mon père avait pris une expression grave et m'a dit que je devais me cacher dans le foin avec ma mère, une fois e, securité j'entendis des cris, j'imagina le combat, mais naïve comme j'etait, je croyais que c'était mon père qui gagnait e combat, mais bien sur il n'avait aucune chance. Le combat fini, le chien partit et laissa le corps déchiqueter...

je tomba en larme sur ces mots, la vision de mon père mort était horrible, j'essaya de me reprendre, j'y arriva avec difficulté, mon souffle était court et ma voix chevrotait.

- Ma mère et moi l'avons enterré comme le clan des étoiles le voulait... Ma mère était une ancienne chatte domestique, elle s’était échappait car elle vivait mal chez ses maîtres, elle était devenue craintive à cause de son séjour chez les bipèdes. Depuis le drame elle me fit vivre le cauchemar, j'avais à peine 4 lunes,et elle m'obliger à chasser, je savais à peine chasser une souris, en rentrant bredouille et pleine de sang car je me blessais, elle me criait dessus, elle disait que j'était une incapable. (je lui montra mes patte couturés de cicatrices) Quelques semaines plus tard elle mourût elle aussi je l'enterra et je partit dans la forêt, je suis tombé sur une patrouille du clan du tonnerre et ils m'ont emmené ici, tu dois sûrement t'en rappeler... En tout cas sache que ça à été dur d'apprendre vos règles mais je serai toujours reconnaissante au clan du tonnerre pour ce qu'il a fait pour moi !

J'avais presque crié les derniers mots, je me calma, j'était toute tremblante d'émotion, cela m'avait épuisait. Je repris calmée.

-Je Respecterai le code du guerrier et je serai loyale au clan toute ma vie si c'est ce que tu veux savoir... Je remercierai toujours le clan et nos ancêtre aussi, je serai toujours loyale au clan... de tout façon je n'aurai nulle part où aller, maintenant c'est ici ma maison (je tourna la tête vers le camp)

Je baissa la tête épuisait, j'avais mal à la tête et je voulais que cet entretient soit fini...

Invité

Hello Sunshine

Il l'entendait sans l'écouter, lointain distant, pensant lui même à l'enfance chaotique et pourtant si ordonnée qu'il avait. Il pensait à ces parents idéales qui le regardait avec amour, qui se ravissait de l'idée d'avoir un chaton, un cadeau du ciel. Mais des parents qui regardait, sans regarder, qui posait leurs yeux sur lui sans voir ce qu'il y avait à l'intérieur. Incompris, spectre incompris qui divaguait sans cesse, il tourna de nombreuses fois la tête cherchant à chasser ces pensées. Il n'y arrivait pas, il n'arrivait jamais à chasser quoi que ce soit de son esprit si ce n'est le sentiment de vide et de paix.

«On vivait dans une vieille grange de bipède et il y avait un grand champ, c’était giboyeux là-bas... On vivait heureux et on mangeait bien mes parents et moi, Les mulots et les souris sont abondante et elles sont plutôt engraissées, rien à voir de celles d'ici. La grange puait l'humidité et le foin aussi mais c’était plutôt supportable. La vie était simple on avait pas de code. Mon père venait apparemment d'un clan, mais je n'ai jamais su lequel, il n'en parlait pas... Il nous a donc parlé du clan des étoiles, j'y est toujours cru et ce sera jusqu’à ma mort, je pense que c'est nos ancêtres qui m'on conduit ici. Ma vie était douce et joyeuse jusqu'à un jour... Mon père m'apprenait des choses sur la chasse et sur le clan des étoiles quand tout à coup on entendit un grognement, je sentait que ça puait mais je ne connaissait pas cette odeur, mon père avait pris une expression grave et m'a dit que je devais me cacher dans le foin avec ma mère, une fois e, securité j'entendis des cris, j'imagina le combat, mais naïve comme j'etait, je croyais que c'était mon père qui gagnait e combat, mais bien sur il n'avait aucune chance. Le combat fini, le chien partit et laissa le corps déchiqueter.. - les larmes gagnèrent la pauvre apprentie. Sans demander quoi que ce soit il s'approcha d'elle et commença à poser sa tête contre ses fines épaules, il avait l'impression de se tenir lui, des lunes plus tôt. - Ma mère et moi l'avons enterré comme le clan des étoiles le voulait... Ma mère était une ancienne chatte domestique, elle s’était échappait car elle vivait mal chez ses maîtres, elle était devenue craintive à cause de son séjour chez les bipèdes. Depuis le drame elle me fit vivre le cauchemar, j'avais à peine 4 lunes,et elle m'obliger à chasser, je savais à peine chasser une souris, en rentrant bredouille et pleine de sang car je me blessais, elle me criait dessus, elle disait que j'était une incapable. Quelques semaines plus tard elle mourût elle aussi je l'enterra et je partit dans la forêt, je suis tombé sur une patrouille du clan du tonnerre et ils m'ont emmené ici, tu dois sûrement t'en rappeler... En tout cas sache que ça à été dur d'apprendre vos règles mais je serai toujours reconnaissante au clan du tonnerre pour ce qu'il a fait pour moi ! »

Messager des Nébuleuses caressa les cicatrices avec douceur tout en dardant à l'apprentie un regard confiant. Il était tombé dans le piège. Il ne pouvait s'empêcher d'apprécier les enfants, ceux qui espèrent, qui continuent de vivre malgré tout le malheur du monde grâce à leur imagination et leur fougue. Quand on est jeune est plus simple de passer au dessus des choses, nous avons tendance à nous enfermer dans les rêves et attendre que les cicatrices se ferment et puis viens de le temps d'être adulte. On peut penser qu'un adulte fait plus facilement son deuil, mais c'est bien le contraire. Même s'il avait gardé son imagination et sa fougue, le monde qu'il avait appris à voir avait refroidit son coeur et le malheur recouvert de sel les plaies, les rendant plus douloureuses. Ce n'était pas ses peines qui étaient les plus dures à supporter, mais celle des autres, celle du monde, celle qu'il devait regarder en face sans broncher. Voir quelqu'un s'écrouler en hurlant sur le corps de son aimé mort, voir une mère hurler à la mort de ses chatons. Il ne vivait pas ses douleur, il l'entendait, la voyait, sans cesse, si bien qu'il n'arrivait plus à supporter les siennes. Car il se rappelait. Il n'avait plus cette triste innocence et même s'il ne l'avait jamais réellement eut, plus jeune, il arrivait encore à se détacher des choses.

« Je Respecterai le code du guerrier et je serai loyale au clan toute ma vie si c'est ce que tu veux savoir... Je remercierai toujours le clan et nos ancêtre aussi, je serai toujours loyale au clan... de tout façon je n'aurai nulle part où aller, maintenant c'est ici ma maison »

Il ne tint pas une seconde de plus.

« Je suis désolé. Je n'avais pas à t'infliger ça. »

Il se releva la tête baissée, hésita. Une seconde, puis deux. Et il se décida.

« Regarde - il lui montra les cicatrices sur son flanc - nous avons les mêmes. Et pourtant notre histoire est différente... Tu ferras une bonne guerrière, je n'aurai pas du en douteur j'avais juste... besoin de savoir si ce n'était pas trop dur. »

La tannière des apprentis étaient trop petit et quand il releva la tête il se cogna contre le plafond de feuilles en y creusant une légère fissure, lachant un juron il continua.

« Nous ne remplacerons jamais ta famille. Mais j'espère que l'on pourra te faire retrouver un semblant d'amour familial. »

On ne pas remplacer l'amour, il le savait trop bien. Son regard s'assombri, il ne voulait pas aller aussi loin et il espéra silencieusement qu'elle n'était pas trop curieuse. Mais répondre s'il le fallait, il répondrait à ses questions comme il l'avait forcé à le faire.

« Prends soin de ton mentor. »

Il tourna la tête vers le jour et regarda le ciel. Est-ce que Murmure de Ressac était là ? Quelque part ?
QUEEN OF CROCODILE