Moi, Ambre, chef des Félins, passe le test ;)

Nom du personnage et des doubles comptes. : Ambre, Liane, Océan (VIVE LES SANS NOMS COMPOSÉS XD)

Niveau estimé (facultatif) : euh à vous de voir, je ne sais pas trop :/

Votre rp (Débutant : 10 lignes avec dialogue), (Intermédiaire : 15 lignes avec dialogue.), (Expert : 20 lignes sans dialogue), (Vétéran : 30 lignes sans dialogue -un thème attribuée-), (Maître : 50 lignes sans dialogue -avec thème attribuée-), (Grand Maître : Plus de 150 sans dialogue -libre ou avec thème, aux choix-) //Enlever la notion inutile. : Je sais pas à vous de juger avec le test que vous me donnerez je pense pas trop Grand Maître mais je peux toujours essayer X)

Bah, je peux pas vraiment juger; on tente le Vétéran ?

Ton thème sera : La liberté ♥.

OK :D

J'AI FINIT RYTHM!!!! mais en niveau maître plutôt XD

La liberté.

Quand on est libre, on a tous droits… Quant au contraire, la vie nous réserve un mauvais destin, malheureusement, on ne peut y réchapper… Alors si le destin nous prévois le malheur, personne ne peux, ni ne pourras rien y faire. La liberté n’a pas de prix, et malheureusement, certains n’ont de liberté. Les humains sont égoïstes : ils ne partagent point la liberté avec leurs égaux. Pourtant, s’ils étaient sains d’esprit, ils penseraient à eux, ces êtres tout à fait normaux, avec qui ils devraient être égaux… C’est ainsi que les humains, égoïstes et lâches, traitres, même, prirent le pouvoir sur le monde…
C’était il y a fort longtemps. La terre venait d’achever sa formation. La vie était paisible. En fait, il n’y avait rien. Rien d’autre que de la terre, épaisse et un peu moelleuse. Un jour vint ou il plut, tellement fort, que seule une unique partie de la terre, celle qui était la plus haute, ne fut pas submergée. C’est alors que vint la verdure. L’herbe, les arbres, les fleurs, tout. C’était… Époustouflant, magnifique ! Mais… Sans aucun bruit. Les plantes, à cette époque, étaient plus que libres. Elles parlaient, bougeaient, enfin, silencieusement. Pour parler, c’était avec leurs feuilles. Pour bouger, c’étaient avec leurs racines. Tout cela étonnement discrètement et à l’abri des regards. Alors la reine de la Terre, la grande Nature, créa les oiseaux, du moins leurs ancêtres, et elle leur affubla un chant cristallin et un vol gracieux. Ce fut le Paradis. Nature créa encore plus d’animaux, en espérant que ce serait encore plus gracieux et magnifique. Et puis un jour, elle créa les hommes. Erreur fatale. Ceux-ci, rapidement, voulurent dominer cet endroit. Alors, pour les punir, elle fit trembler la terre, et créa des Tsunamis. Mais l’homme, malin, trouva un endroit ou se protéger. Alors il protégea touts les êtres, mais les dinosaures, bien trop lents, succombèrent aux vagues démentielles et on retrouva leurs os au fin fond des eaux noires et tumultueuses. Ensuite, l’homme voulut évidemment continuer sa quête du pouvoir. Et il réussit. Il vaincu de nombreuses fois les épreuves que Nature lui mit en travers de sa route. Il inventa, en tuant l’herbage et les animaux, de quoi vivre plus confortablement, et de quoi avoir les autres espèces à sa merci. Il fut proclamé roi du monde, et rompit toute liberté aux autres espèces. Seul lui aurait le droit de faire ce qu’il voulait. Certains animaux fuirent et vécurent juste dans la Nature sans se plaindre, mais, malheureusement, certains résistèrent. Alors l’homme en fit des serviteurs éternels. Il s’agissait évidemment du Chien, du Chat, du Lapin, de certaines souris et des Oiseaux, qui, malgré leur petite taille, étaient bien courageux. Alors il se créa des semblables, pour être sûr que son règne persiste. Il créa un empire, et tua impitoyablement tout ceux qui n’approuvaient pas son choix. Au début, ce fut au fouet. D’incomptables coups de fouet, fait en liane…
À ce moment là, personne, à part le premier homme, n’eut de droit. Ni le droit d’expression, ni même celui de penser. Non, tout le monde devait se plier à la dictature d’un seul et unique être.
Maintenant que vous savez comment l’homme est monté au pouvoir, illégalement, voici le mode de vie de ceux qui doivent fuir éternellement, voici un exemple, prenons, par exemple, le léopard… Ici, il sera narrateur et racontera l’enfer qu’il vit…
Je suis Pluie d’Étoiles Scintillantes au Soleil. On me surnomme Pluie. Chaque jour, moi et ma famille devons fuir les hommes. Chaque jour, ils sont de plus en plus nombreux… La mort me guette depuis ma naissance, la mort, c’est ce qui a décimé les miens. Il ne reste que moi, car hier même, ils ont tués ma sœur, Rayon d’Étoiles dans le Ciel… Je suis seule, à présent, et doit à tout prix échapper aux horribles desseins de ces hommes. Ils ont faillit m’avoir à plusieurs reprises, mais fort heureusement je suis la plus rapide de la famille. Aujourd’hui encore…
L’aube est à peine levée. Bien. Les bipèdes, fort heureusement, dorment jusqu’au petit Matin, mais attendent environ trois heures avant de se manifester. Je sors de ma cachette, et, discrètement, chasse. La nourriture se fait rare, malheureusement. Alors, je trouve un lapin, cela me satisfait largement.
Non, aujourd’hui, c’est un héron qui surplombait la vallée, en tournoyant. Quel idiot, il sait très bien que je l’aurais très bientôt, et que ce sera lui, la proie. Alors j’attends, en faisant mine de ne pas la voire, et lorsqu’il pique sur moi, je m’apprête à sauter. Le héron n’est plus qu’à un mètre de moi, je saute sur le côté, et, surpris, il n’eut pas le temps d’atténuer le choc. Étourdit, bec dans la terre, j’en profite alors pour l’achever.
C’en était finit, de ce héron. Et ça me fait de la nourriture en plus. Lorsque je l’ai finit, je me précipite vers l’Ouest, espérant semer les bipèdes. Mais, peine perdue. Quelques instants après, j’eu une masse de Deux-pattes à mes trousses. Alors je dû fuir, courir le plus vite possible. Déjà, ils avaient leurs armes en main, et tiraient en sa direction des petites balles, petites, certes, mais rapides et mortelles. Elles me pistaient, bizarrement…
Je vois un trou, je bondit à l’intérieur et suis le chemin. Bon, je les ai retardé. Maintenant, il faut leur échapper.
À mon grand soulagement, les balles ne m’avaient pas suivies. Je suis le chemin du tunnel souterrain, et il débouche sur une vaste prairie, vide. Je cours alors jusqu’à un endroit en sécurité.
Tout les jours, les chasseurs me retrouvent et je dois fuir, de peur de subir la mort…
Voici donc une preuve que la liberté n’appartient pas à tout le monde, et que la liberté n’a pas de prix…

C'est ok, tu es dans le niveau 'Maître' ♥.

Perso, je trouve rien à redire héhé.

Merci beaucoup Rythm :D