Cœur en feu..(Pv Langue de Vipère)

Petit nouveau Date d'inscription : 11/04/2017

Sombre Nuit et Langue de Vipère

Sombre Nuit
Il devait être environ midi. Le soleil était haut dans le ciel, et il faisait plutôt calme dans cet endroit reculer du camp, reculer des autres félins et du bruits en communauté. J'en profitais donc pour partir chasser seul, et faire mes affaires. Depuis la nuit de l'autre fois, je n'arrivais pas à penser, à réfléchir. Tout les jours, depuis quelques temps, je sortais seul, je chassais seul. Ou restais distant ou mystérieux. Par moment, je parlais certaine femelle en douce, cherchant des conseils.
En ce moment, je traquais le gibier, et précisément un lapin. Je sentais mes muscles se contracter pour forcer, puiser dans mes forces pour ne pas le lâcher, et le pourquoi? Ce lapin était tellement gras, mon ventre en mourait d'envie même si c'était pas pour moi, et ensuite, je refusais de céder à un stupide rongeur de pacotille. Il me le fallait à tout pris.
Et "CRACK". En un bond, un coup de croc, et le lapin git sous mes dents.
-Mpff!
Fis je en haussant un sourcil fier de moi. Je l'avais enfin eu. Tout en trottinant, je vais le poser sur un petit tas de feuille soigneusement placer près de deux petit lit fait avec soin dans un endroit tranquille, à l'abris des regards, près d'un tronc d'arbre tomber. Une fois ca fais, je me lave rapidement, mais proprement et file vers le camp.
Une fois au camp, je m'éclaircis la voix, agitant mes moustaches. A vrai dire, je cachais ma nervosité. Le poil lustré, les yeux pétillant, je marche d'un pas décidé, cherchant quelqu'un. Cherchant une femelle du camp. Une fois à droite, une fois à gauche, toujours pas. "Je me demande ou est ce qu'elle est, espérant qu'elle ne soit pas partie chassée ou en patrouille, sinon c'était fichue. Déjà que j'avais pus me libéré aujourd’hui de mes tâches de guerrier, mais aussi parce que ce que j'ai fais, ne durera pas jusqu’à la prochaine fois. Ignorant quelques regards par ci par qui me tombais dessus, je la cherche, pointant mes yeux verts sur chaque félins du camp.

Guerrière Date d'inscription : 11/04/2017

Le soleil chaud du midi me réveille doucement avec sa douce chaleur. J’avais passé toute la nuit en patrouille avec trois autres félins, qui dort encore dans leur lit de mousse. Mais je ne me plains pas des patrouilles de nuits, car le lendemain on na souvent congé de corvée pour la prochaine nuit et j’adore les sortir nocturne ! De toute façon, chaque chat du clan passe par là un jour. Mais à mon réveil, il avait beaucoup de vie à l’extérieur de la tanière des guerriers, normal à cette période des feuilles nouvelle qui donne espoir a tout le monde. Je m’étire et sorti de la tanière avec le soleil qui aveugle au passage. « Arrr mes petits yeux… » Quand je retrouve la vue, je me dirige vers le tas de gibier, mais une vague de chat me bouscule au passage pour aller vers la pouponnière.

- Hey faite attention tout de même !

Bien sûr, ils ne m’ont pas entendu, leur attention était ailleurs et je me demandais bien pourquoi ? Puis des murmures d’un autre groupe de félins viennent résonner à mes oreilles. On aurait déjà la première portée de chatons, de la saison des feuilles nouvelle. Je souris à cette nouvelle joyeuse et je voulais à mon tour aller voir les petits nouveau-nées ! Mais hélas, trop de membres du clan de l’ombre bloquent l’entrée. « Il devrait y aller mollo avec les visiteurs. » Je décide de revenir plus tard quand ma toilette sera finie. Il était toujours midi quand ce fut mon tour d’allée dans la pouponnière. Je ne le suis jamais retourné, suite a mon apprentissage de guerrière. « Que des souvenirs ! » Il fait plus frais ici que dans la tanière des guerriers. Mon attention est vite retombée sur la jeune mère qui au passage la félicite. Ensuite, je regarde ses quatre magnifiques chatons ! Si petit si fragile… Il n’avait aucune fourrure sur leur dos. Un sentiment tout nouveau me parcourt. Une sorte instincts maternels… Même si ses petits n’étaient pas de moi, je me demandais ce que ça pourrait donner d’être une mère ? Je savais au fond de moi que je ne connais rien a tout se monde et je suis loin de le découvrir… J’adresse un au revoir à la maman de nouveau et quitte la pouponnière le cœur lourd. Savant bien que j’étais loin d’avoir les attitudes pour cela ou encore d’être prête pour être maman.

Petit nouveau Date d'inscription : 11/04/2017

Rapidement je continuais de la cherchée parmi les chats du clan. Quand je la vis, un large sourire se dessinait sur mes babines frémissantes d'excitation. Heureux de la voir, je fis un pas en avant avec le cœur battant sans cesser de la regarder avec amour, mais je me stoppais en voyant la suite. Ma féline rentrait dans la pouponnière et disparut rapidement dans la petite tanière.
Coupant net ma lancée, je me met en retrais non loin de l'entrée du camp et des regards et me met assis calmement.Quoi faire d'autre? Rien. Dans un soupir, je regarde mes pattes, me demandant quand elle ressortirait. Car une fois qu'on entre la dedans, on en ressors beaucoup plus tard, fasciné par les bébés et la blabla des reines on ne vois pas le temps passé et on reste accrochés. Moi, pour ne pas perdre de temps, je me mis à réfléchir à la suite, pour que tout soit parfait. Et la, le monde autour de moi dispersait, et je plonge dans mes pensées profondes.
Je sens doucement le vent dans ma fourrure, faisant ainsi voler mes poils lustré avec soin, sentant le vent murmuré dans mes oreilles bien droite, sentant le sol sous mes coussinets nettoyer. Ma queue se mit autour de mon corps bien droit et sûr. Et je pense. A elle, à moi, au futur, à ce qu'on ferra. Et soudain, je reviens à la réalité en sentant dans une brise son odeur unique à mes yeux. "La voilà, ma douce princesse!" pensais je fortement en me levant, esquissant un doux sourire, qui, quelques secondes après, s'effaça. Je voyais son attitude, son regard que c'était pas le moment. Le pourquoi? Je ne savais pas, mais ca n'allais pas. Et ca me fis mal de penser à ce que j'avais préparer pour nous deux. Le diner à deux, le nid pour les câlins, les lieux, tout ca me semblait si stupide soudainement. Elle avait sans doute pas la tête à ça, c'est pourquoi je me secoue pour remettre mon poil en place et m'avance vers elle, redevenant ainsi comme avant: Sans expressions particulière, décontracté. Calmement, le félin que je suis s'approche de la jeune chatte et lui adresse un petit salut amical en arrivant devant elle.

-Bonjour Langue de Vipère!

Dis je d'un ton calme et doux, malgré la situation. Et continue de parler, en cherchant son regard. D'un côté" juste pour voir ses prunelles vertes pommes, et ensuite, pour voir précisément son attitude.

-Ca n'a pas l'air d'aller, ça va pas? Quelqu'un t'ennuie encore? Tu es malade? Tu as mal quelques part?

Demandais je en me mettant maintenant assis devant elle en agitant seulement le bout de ma queue. C'est pas que je voulais paritaire énervant, mais je voulais savoir ce qu'elle avait avant de faire une grosse bêtise.

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