/!\ Tu me sembles naïve petite, ai-je tords ? || FEAT ALIX /!\ Peut choquer.

Le Clan de l'Ombre. Plus jamais. Je m'étais toujours promis de ne plus y retourner car je ne pouvais supporter de revoir ce lieu cloitré entre deux falaises nous enfermant et nous forçant à obéir à un chef. Je n'ai qu'un seul chef et ce chef c'est moi. Oui je suis audacieux, dominant et tout ce qui va avec mais je ne suis pas idiot contrairement à ce que pense certains. Je ronronne et traîne longuement des pattes dans la forêt. Je renifle, de nombreuses odeurs sont entremêlées ici. Je ronronne en pensant à Mythe. Jamais je ne parviendrais à oublier cette femelle, elle avait été la première, la toute première d'une longue série.

Je secoue la tête pour me changer les idées. Je m'étire et soupire en même temps avant de me lever et de trottiner vers le cœur des terres pour pouvoir trouver de quoi me nourrir. Rapidement un mulot apparaît, je me tapis au sol et avec allégresse et délicatesse mes pattes effleurent le sol. Je bondis et tombe sur le dos de la musaraigne et me dirige vers les Falaises, la proie dans la gueule pour manger cette proie avec le bruit de la rivière se fracassant sur les rochers.

Je pensais être seul pourtant je me trompe. Une jeune minette me tourne le dos et regarde au loin, par delà les falaises. J'avance d'un pas léger avec toute la discrétion possible. Un sourire en coin se dessine sur mon visage, sa pelisse est taillée et elle dégage une odeur particulière. Sa fourrure et bicolore et marquée d'aucune odeur masculine. Une fois arrivé à sa hauteur je lui miaule d'une voix rauque en arquant un sourcil :

HADES ◄ Comment vous appelez-vous grande guerrière ?

Mon ton était charmeur et je fais la révérence à la jeune guerrière. Je sais qu'elle n'appartient à aucun clan. Je commence à tourner autour d'elle avant de m'asseoir à côté d'elle lui tendant la proie en ronronnant :

HADES ◄ J'avais par hasard chassé avant de venir ici mais je n'ai plus faim. Prends cette proie, je ne peux que vous l'offrir et m'incliner devant votre beauté !

La femelle semblait gênée et très mal à l'aise. Je parvins enfin à analyser l'odeur masculine qu'elle portait. Elle n'était pas féline, bien heureusement pour moi, mais humaine. Cette chatte était donc une domestique. Cela expliquait beaucoup de chose : ses tremblements, son mal être devant la tendre proie et sa tension. Elle était très stressée. Je le sentais, elle puait la peur ainsi que la honte. Je ronronne et me colle légèrement plus à elle. Elle ne semble pas protester bien qu'elle soit craintive. Je vais devoir me montrer le plus manipulateur possible pour qu'elle comprenne - ou pense - qu'elle est en sécurité à mes côtés :

ANONYME◄ C'est que je ... Je ne mange pas vraiment de proies... Je ne suis pas vraiment habituée ! Mais pourrais-je juste savoir votre nom ?

Habituellement j'aurais grogné pour faire comprendre que je voulais d'abord la réponse à ma question mais vu le malaise de la jeune chatte domestique je ne peux me le permettre. Ma technique de charme ne semble pas faire effet, je vais jouer sur l'affectif et l'émotionnel. Je ronronne et nos fourrures se frôlent, elle frémit mais ce genre de contact n'a plus aucun effet sue moi après le nombre de timides approches que j'ai exécutées.

Un petit ronron d'excitation m'échappe puis je regarde la domestique de mes doux et angéliques yeux bleus. Cela sera ma dernière tentative. Si elle ne s'exécute pas je serais obligée de la contraindre à le faire ce que je ne souhaite pas et ce qu'elle ne souhaite pas - je suppose. Je ronronne et commence à tourner autour de la femelle. Voilà presque une lune que je n'ai pas ajouté une nouvelle conquête à mon catalogue et il me tarde de le faire. Je lui tourne toujours autour et ma queue glisse le long de ses flancs je lui miaule de mon habituel ton charmeur :

HADÈS ◄ Je m'appelle Hadès. N'aie pas peur de moi, je ne vous ferais aucun mal. Je vous comprends pour la proie, moi-même (ayant des origines domestiques) je déteste cela mais j'ai été chassé de chez moi donc du coup j'erre contraint de manger les plus ignobles créatures ...

Mon ton était charmeur et dragueur. Il est rare que les femelles me résistent à ce stade mais il est bien vrai que j'ai accéléré le processus uniquement pour elle. Je ronronne et continue ma ronde avant de m'asseoir, nos truffes presque l'une contre l'autre et de ronronner un simple mot doux qui laisserait - je pense - aucune femelles indifférentes.

La jeune chatte se détend un temps soit peu avant de se crisper à nouveau lorsque ma queue frôle son flan. Elle me jette un regard surpris, elle me craint. Cela ce voit dans ses yeux, au travers son regard je ne vois que mon reflet, aucun évènements qui auraient pu la briser ou même la blesser. Je ronronne à nouveau une fois planté devant elle. Une simple avancée de tête me permettrait de plaquer ma truffe contre la sienne. Ses yeux sont voilés d'une teinte bleutée sans doute le simple reflet de mon propre regard.

ANONYME ◄ Je ... Je ne vous suis pas bien ... Vous ne semblez vraiment pas me vouloir du mal, pourtant ... Vous semblez vous intéresser à moi sinon vous ne m'adresseriez pas la parole ... Elle s'arrêta un instant, elle se sentait bête mais continua, je sais bien que vous attendez quelque chose de moi ... Mais je ne sais pas vraiment quoi ...

J'arque un sourcil. Elle a vu juste dans mon jeu mais elle ignore ce pourquoi elle est là, ce pourquoi je lui fais la cour. Un grondement m'échappe. Cette femelle est plus résistante que ce que je pensais. Je me recule décidant d'utiliser une dernière chose. Un dernier test. L'Ultime Test. Si celui-ci échoue je le ferais de force car j'en ai envie, elle ne doit pas le vouloir mais après tout ce ne serait pas la première fois que j'en contraindrais une. Une de plus une de moins, on est plus à ça près !

HADÈS ◄ Tu peux me tutoyer ...

Ma pelisse vibre au contact de la sienne. Je prends soin de faire rouler mes épaules lorsqu'elle touche les siennes pour comme la contraindre à m'obéir. Ma queue enlace la sienne. Je la regarde droit dans les yeux, mon regard à changer. Je sens une chaleur importante envahir mon corps tandis que j'enroule totalement ma queue à la sienne, je la fixe et lui miaule :

HADÈS ◄ Donne moi ton nom ... J'ai envie de toi.

J'étais clair et simple, à elle de voir si elle le ferait naturellement ou s'il me faudra la forcer. Je préfère bien entendu qu'elles le fassent de leur plein grès mais si je dois la contraindre il n'y a aucun soucis. Je parviens toujours à satisfaire mes pulsions.

HADÈS ◄ Un simple regard m'a suffit à comprendre que tu étais mienne. Je veux que tu sois ma compagne ... Le comprends-tu ? Le veux-tu autant que moi même je le désire ?

Ceci était un mensonge, bien sur. J'ai rarement dit la vérité à une femelle vis-à-vis de mes conquêtes. Enfin qu'une fois après leurs avoir fait croire au bel amour.

Je voulais que cette femelle se plie à mes attentes. Je ne cache plus mon jeu, je presse vulgairement ma truffe contre la sienne et ronronne. Elle reste bloquée, coincée et essaye de se défaire de mon emprise mais ma queue serre la sienne et l'empêche de faire tous mouvements trop brusques. Ses yeux pénètrent les miens et elle me regarde ainsi, tremblante. Je lui lâche un sourire et lui lèche l'arrière de l'oreille. Elle parvient à se décaler un minimum et me miaule la voix instable :

ALIX ◄ Mon... Mon nom est Alix... Elle jeta un regard au matou en tremblant, elle continua, je... Je ne peux accepté, on ne me le permettrait pas... Je... Désolé...

Je lâche un râle. D'un coup, mon attitude passe du tout au tout. J'étais calme et charmeur avec la femelle afin de lui faire la cours pour atteindre mon but mais voilà qu'elle continuait à me résister. Je redresse les babines énervé par la résistance de la femelle. Elle pensait uniquement à ses bipèdes. Dans ces cas-là, je me montre violent, impulsif et agressif. Je donne un puissant coup d'épaule à la femelle qui tombe à la renverse sur le flan. Je pose ma massive patte sur son flan et lui grogne :

HADÈS ◄ Très bien. Tu es sûre de ne pas vouloir coopérer ? Ça risque d'être bien plus douloureux pour toi ...

Je crache les derniers mots. Je regarde la femelle, elle est terrorisée, tapie au sol. Je feule et commence à caresser le long de son flanc de l'extrémité de ma queue et du bout de la patte. Je me remets à ronronner et lui miaule d'un faux air tendre :

HADÈS ◄ Dirige toi là-bas.

Je lui donne un puissant coup de patte dans les côtes, la contraignant à se rendre vers le massif de buissons, un rictus en coin. Si elle ne le fait pas je la traînerais moi même sans aucune peine et cela risque d'être bien plus sanglant que prévu.

La femelle feule légèrement et d'un coup de patte dans la joue je la remets à sa place. Elle me regarde, hésitante. Elle ne veut pas se diriger vers les buissons mais ma carrure l'impressionne et elle voudrait que tout se passe pour le mieux. Elle s'assoit en face de moi une fois derrière les buissons. Un rire rauque m'échappe lorsqu'elle me miaule :

ALIX ◄ Je... Je ne veux pas, laisse moi tranquille... !

Voilà ce que j'aime dans ce genre de pratique : voir la crainte de votre ennemi, le voir se soumettre à vous. Le voir à votre merci. Elle a les larmes aux yeux mais elle les retient. Elle me regarde, tremblotante. Je sens l'ambiance se réchauffer, je lâche un ronron de bonheur face à cette femelle désormais à ma merci. Je vais pouvoir lui faire tout ce que je veux sans qu'elle ne puisse protester - ou presque. Mon taux d'hormones augmente, il monte en ébullition. Cela me rend quelquefois violent surtout lorsque l'on tente de me résister :

HADÈS ◄ Ne tente rien. Rien qui pourrait te coûter la vie. Il est trop tard pour toi ma petite. Allonge toi et laisse toi faire ! crachais-je.

La femelle se laisse choir sur le flan ayant sans aucun doute deviné ce qu'il allait lui arriver. Je lèche l'oreille de la faiblarde. Je pose ma patte pour lui montrer une nouvelle fois qu'elle ne peut rien faire qui changera le court des choses. C'est la nature ... ? Je lui lèche les oreilles, ma langue commence à glisser le long de son dos. Son échine se relève lorsque j'atteins sa croupe. Elle pousse un petit gémissement naturel, cette zone est la plus sensible aux caresses sensuelles. Aucune femelles n'y résistent, consentantes ou non.

Alix est à ma merci. Je vais l'humilier, pourrir le peu d'image qu'il lui reste. Il n'y a aucun amour dans mes gestes, juste le simple besoin de profiter du corps d'autrui. Ma langue glisse ensuite de sa croupe au dessous de son ventre non sans lui arracher un gémissement. Il serait temps, pensais-je. Ce n'est pas dans mon habitude de faire durer les choses de la sorte pourtant j'ai envie de profiter du magnifique et parfait corps vierge de cette femelle.

Son corps est étendu devant moi tandis qu'une première larme coule sur sa joue. C'est l'heure. Je relaisse glisser ma patte du haut de sa nuque jusqu'à sa croupe. Instinctivement la femelle se met sur le ventre, je me mets à califourchon sur elle et lui mords légèrement la nuque pour l'immobiliser. Elle tente de se débattre en vain. Je resserre mon étreinte et commence à donner le premier à coup avec mon bassin. Ce geste est dénué de sentiment et me procure uniquement du plaisir. Ce premier va-et-vient arrache un gémissement à la femelle. Mes hormones continuent de monter en puissance, mes coups se font de plus en plus violent et la femelle gémit - non plus de bonheur ni même de plaisir - mais de douleur. Ces gémissements sont mes préférés.

Mes gestes continuent tel un robot, puis en un dernier coup de rein, je lui serre la nuque très fort. Nos corps sont liés, cette ultime geste nous immobilise tout deux dans l'ombre du buisson. Je ronronne et me retire d'elle restant au dessus d'elle pour montrer ma domination.

La femelle tremblait d'excitation sous mes puissants muscles. Je sais qu'elle n'a aucun bonheur à faire cela mais la nature fait bien les choses, mécaniquement le corps envoie du plaisir au cerveau qui encourage le reste à continuer. Sans le vouloir la femelle m'incitait à continuer encore et toujours en lâchant ne serais-ce qu'un gémissement et en dégageant un taux d'hormones bien plus important. Ceci n'est pas volontaire et elle le sait pourtant je continuais sentant le corps de la femelle vibrer sous mes à coups violents.

Je me retire de la femelle mais reste au dessus d'elle la faisant basculer sur le dos, ses yeux sont écarquillés. La femelle était essoufflée, je ronronne satisfait de ce que je viens de faire - bien que cela paraisse odieux à quiconque passerait vers là :

ALIX ◄ Tu en as fini... Avec moi... ? Tu as eu assez de plaisir, tu vas me... Me laisser tranquille, n'est-ce pas ... ?

Je laisse mes griffes glisser sur le torse de la frêle domestique. La pauvre elle n'avait rien compris à la vie. On appelle ça se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. Un rire glauque m'échappe tandis que je souris excité par ce qu'il vient de se passer. Je suis un instant pris de pitié par la petite femelle avant de coller mon ventre contre le sien. Je lui bloque la tête avec ma queue et presse ma truffe contre la sienne, de force bien sur.

Je décolle ma truffe de la sienne, toujours à cheval sur elle, et je lui caresse tendrement la joue du bout de la patte et lèche la larme qui lui coule de la joue. La femelle est toujours tremblotante sous moi, j'ignore s'il s'agit toujours de l'excitation ou bien si c'est tout simplement suite aux sanglots qu'elle lâche avidement.

HADÈS ◄ Je n'en ai pas finit avec toi. Partout où tu iras, méfie toi car je pourrais t'attendre caché non loin. Je te suivrais. Je t'observerais. Tu es mienne désormais, ne tente pas de chouiner chez tes Bipèdes et encore moins chez un autre mâle. Tu es à moi et à moi seul.

Je lèche la truffe de la domestique. Je la remets sur le dos, cela la surprend. Elle me regarde ahurie. Et je recommence un nouveau coup de rein arrachant un nouveau gémissement à la femelle. Elle ne pensait pas que j'en serais capable, enchaîner deux fois d'un coup. Je vous avoue moi-même ne pas savoir où cela risque de nous mener. Je redonne de nombreux coups de rein à la femelle qui frémis, gémis et se tend sous moi. Elle voudrait me résister mais cela lui est impossible : ma force est supérieure à la sienne et cela lui fait tout autant plaisir qu'à moi bien que cela soit douloureux.

En un dernier gémissement, en un dernier coup de bassin, je m'abandonne en elle en lui serrant la nuque et en l'écrasant de mon poids contre le sol. Elle lâche un ronron. Cela me surprend très peu, nombreuses sont les femelles finalement comblées après une seule nuit à mes côtés.

La femelle cesse de trembler sous moi lorsque je me décolle d'elle. Elle halète. Je ronronne victorieux d'avoir pu laisser ma marque sur le corps désormais meurtri de la femelle. Je regarde cet être déshumaniser me regarder les yeux toujours voilés par les larmes. Elle feule légèrement pour masquer un de ses gémissements et me feule :

ALIX ◄ Je ne t'appartiens pas et je ne t'appartiendrai jamais ! Tu ne m'enlèveras pas le bonheur dans une vie de chat, si je veux, je me prendrai un compagnon !

Je donne un coup de patte dans les côtes de la femelle qui pousse un hoquet lorsque sa respiration en est coupée. Je griffe légèrement la cuisse arrière de la femelle, a portée de ma patte. Elle crache et je plaque ma patte contre sa gorge serrant tout juste de quoi laisser l'air passer. Je me penche au niveau de l'oreille de la délicate solitaire et miaule d'un ton sec :

HADÈS ◄ Veux-tu revivre ce que tu viens de vivre à deux reprises une nouvelle fois ? Si oui, continue à me résister. Et puis, si tu venais à avoir un compagnon, j'ai de très bon contact - ou même moi-même - qui pourrons prendre soin de s'occuper de lui.

Je me redresse et m'assois à côté de la domestique toujours convulsée par ses propres sanglots. Cette rencontre a changé sa vie à tout jamais et elle ne semblait pas en prendre totalement conscience. Maintenant que je m'étais abandonné en elle, elle devrait comprendre par toutes les manières qu'elle ne devra aller voir personne d'autre que moi. Je suis le mâle de sa vie. Je suis son mâle quelle le veuille ou non.

HADÈS ◄ Réfléchis bien.

Je m'allonge à côté d'elle et fourre tendrement ma truffe dans les poils mi longs de sa nuque. Je ronronne et me frotte à elle tout en lui miaulant :

HADÈS ◄ Tu es mienne.

Si elle me résiste, je serais contraint de le refaire. Je le referais jusqu'à ce qu'elle comprenne même si cela devrait mener à sa mort, je serais le seul mâle qu'elle aura de toute sa vie.

La femelle sanglote en me miaulant d'une voix agressive mêlée à une puissante impulsivité :

ALIX ◄ Non, je ne t'appartiens pas! ET si j'appartenais à quelqu'un se serait mes bipèdes et je les aime et se seront les seuls que j'aimerai et là, au moins, je suis sûr de les aimer sans qu'il risque la mort étant donné que les bipèdes ne craigne pas les tristes minet solitaire !

Mes yeux devinrent deux feintes. J'enroule ma queue autour de sa gorge puis mes pattes la saisisse. La minette était très légère, je la plaque contre une pierre non loin de là. Le choc la fait vibrer et un bruit sourd retentit dans la forêt. Je ronronne en voyant du sang s'écouler de son épaule, je lèche la plaie et remonte doucement jusqu'à sa nuque, rapidement ma haine se calme. Ma langue remonte jusqu'à derrière son oreille avant de re-glisser sur sa nuque. Je relâche mon étreinte et la femelle s'effondre au sol sur le flanc.

Je ronronne et la remets sur le ventre, ma langue glisse le long de son flanc laissant un peu de bave sur sa pelisse parsemée de tâches tricolore. Avec délicatesse, je lui lèche la croute, faisant à nouveau appel à ces instincts. Ma queue enlace la sienne tandis que je me remets à califourchon sur elle. J'ignore si elle est consciente, mais son corps réceptionne mes messages corporaux. Ma bouche s'ouvre sur la gorge de la femelle et je la serre pour une troisième fois. Je sens uniquement ses flancs bouger d'un geste plutôt régulier. Une bouffée de chaleur me prend tandis que je redonne un coup de rein, m'arrachant un gémissement.

Cela continu quelques instants avant que je reste figé, totalement collé contre elle.

Je ronronne à nouveau satisfait. Je me décolle d'elle et la bascule sur le dos en ronronnant. Ses yeux sont ouverts, je lui grogne :

HADÈS ◄ Toujours pas décidée ?