Encore un chat de clan... PV Herbe à Chat FINI

Quoi de mieux que de se promener sur le territoire de l'un des clans ? De les provoquer sur leurs propres terrains et les égorger sans scrupule ? Foudre cherchait une proie avec qui s'amuser, s'amuser à sa façon, il sourit, un sourire noir et cruel, ce sourire qui pourrait paraitre bien trop mauvais pour provenir d'un être vivant, trop proche d'un démon noir, un chat qui ne connait plus les sentiment... Ou presque, sa haine lui ayant rongé le cœur jusqu'à ne plus connaitre d'autre émotion que le dégout, le sadisme, la cruauté et ce genre de chose que personne d'autre, à l'exception peut être de Phœnix, ne connaissait. Le matou arpenta le territoire des félins rapides comme si il était chez lui.  S'était le territoire de la cheffe Etoile d'Ouragan, une chatte dont il avait subitement décider de la faire souffrir plus que les autres en la laissant en vie, au moment où il détruirait son clan à petit feu.
Bien content de lui, il continua à avancer, sans gêne et sans vraiment se soucié de savoir si on l'avait vu, parce de toute façon, s'est lui qui reperd ses proies avant que ses proies ne le reperd... Un parlant de proie... il leva sa truffe, une odeur féline lui chatouilla le museau, l'un de ses maudits chat de clan était de sortie! Il décida de s'amuser un peu, il suivit la trace sans mal jusqu'à découvrir une chatte avec des poils plutôt long écaille de tortue et noir. Une jolie femelle, pas autant que Pluie d'Eté, bien sûr! Mais mieux vaut ne pas trop y penser maintenant. il s'approcha sans bruit jusqu'à être assez proche pour lui bondir dessus et la plaquer au sol férocement et avec violence, d'une patte, il enfonça ses griffes dans son flanc, il se pencha à son oreille et lui murmura:

- Je te déconseille de résisté.

Herbe à chat se réveilla de bonne heure, ce matin là. La jeune chatte n'étant guerrière que depuis une lune, elle avait encore l'habitude de se lever tôt. Profitant du beau temps, elle décida de sortir se balader un peu. Ça lui faisais grand bien. Soudain un félin la plaqua au sol en lui disant : "N'essaye pas de résister"
Elle fut surprise sur le coup, mais se rappela qu'elle n'était plus un chaton. Elle profita d'un moment d’inattention du matou pour se dégager tant bien que mal, laissant plusieurs touffes de fourrure au passage dans les griffes de son attaquant. Herbe à chat voulut contre-attaquer, mais soudain elle fut immobile comme un arbre. Sa vue se brouilla, tout disparu autour d'elle. Herbe à chat avait une vision...

Le matou vit que la femelle n'avait pas l'intention d'obéir et elle essaya de se dégager comme elle le put, Foudre, avec une incroyable vitesse bondit sur le côté attendant que la chatte contre- attaque, mais rien ne vint, elle ne bougea pas, Foudre ricana, s'était trop facile, il sauta lestement la frappant encore plus violement que la première fois, à nouveau il la domina, sortant ses griffes, prêt à la tuer si elle tentait à nouveau de s'enfuir. Le matou planta ses yeux dans les siens, un sourire de coin s'affichant nettement sur son visage, c'est qu'elle était dur à maitriser! La matou aimait les forts caractères, le chats qui agissaient et qui ne restaient pas assis les pattes croisé en gémissent, attendant le moment de leur mort. Le matou planta une nouvelle fois ses griffes dans le pelage de la jeune chatte, car oui, elle était plutôt jeune mais pas assez pour être un chaton, en efforçant ses griffes dans le pelage écailles de la jeune chatte, Foudre remarqua à quel point elle était fine, rien avoir avec son propre corps musclé au pelage noir. Foudre n'était pas gros, loin de là, mais il était plutôt logique qu'il soit plus musclé, moins menu qu'une femelle, ça tournait sous le sens. Il ne serra pas assez pour ne pas lui faire trop mal non plus. Pas pour le moment mais si elle continuait à bouger, alors oui, elle souffrirait. La clouant avec une force incroyable tout en l'empêchant de bouger sous peine d'enfoncer un peu plus les griffes de Foudre finement aiguisées et qui avait tuer et martyrisé un nombre de chat incroyable. Il se pencha vers la jeune chatte en ricanant légèrement et rétorqua fermement:

- Je t'ai dit de ne pas me résister, tu ne peux rien contre moi, juste espérer que je te laisse en vie, alors sois gentille et cesse de bouger.

La vision d'Herbe à chat fut nette et précise. Elle sut alors ce que voulait lui faire ce chat, ce qu'il avait à d'autres avant elle, il lui ferai aujourd'hui. Il la tuerait. Sa vision la désaventagea en plus, car son temps d'arrêt avait permi à l'autre de riposter. Il lui dit encore:"N'essaie pas de résister" Herbe à chat était de nouveau en mauvaise posture. Mais elle ne fut pas appeurée, comme plein de chats trouillards qu'elle connaissait. Elle eu le sentiment contraire, qui, malgré elle, refaisait surface tout le temps. Elle murmura sans le vouloir:"Qu'il est beau" Mais elle se rendit compte de son erreur. Qu'allait-il penser d'elle. Il la prendrait pour une folle, c'était quasiment certain. Ce félin, comme tous les autres, avait sûrement déjà une compagne. Alors elle se répéta, encore, avec mélancolie:* Rappelle-toi, Herbe à chat, personne ne voudra jamais de toi, car tu n'es pas assez calme, et tu ne correspond à personne.* Et sentant qu'elle ne pouvais rien faire de plus, elle se laissa tomber sous les pattes de son attaquant.

Le matou enfonça un peu plus ses griffes dans le beau pelage écaille de la femelle. La maintenant au sol avec une puissance incroyable. Il retira l'une de ses pattes où perlait quelques gouttes de sang, il la secoua pour s'en débarrasser. Son sourire cruelle ne le quittant pas, il lui signifiait clairement qu'il était le seul détenteur de sa vie en ce moment. il la manipulait comme il voulait, comme ça lui plaisait, étonnement, la femelle ne semblait pas terrorisé, pas comme il l'espérait... Il faut l'avouer, son caractère plutôt courageux plaisait au matou, ça lui changeait des trouillards comme il en voyait tant! A nouveau, Foudre resserra la pression de son poids sur elle, il ignorait toujours ce qu'il allait en faire, alors qu'il plongea son regard dans celui de la chatte, il l'entendit vaguement murmurer:

- Qu'il est beau

Il desserra légèrement sa prise sans pour autant la lâcher, un peu étonner de l'entendre prononcer ses mots, ça lui faisait bizarre, mais Foudre comprenait toujours le sens d'une phrase comme il le voulait. Il en déduisit donc qu'elle devait parler de son compagnon, peut être qu'elle était triste de devoir mourir comme ça ? Sans lui dire au revoir... Foudre sourit mâchement puis il leva l'une de ses pattes toujours couverte de sang, ses griffes d'un blanc pur brillant sous l'éclat de la lune, après un moment il ricana:

- Je vois je vois, si tu veux dire au revoir à ton compagnon, tu peux lui faire une prière maintenant!

Herbe à chat sentait que le matou cherchait à la destabiliser, d'ailleurs elle voyait que l'une de ses pattes était pleine de sang, le sang de la guerrière. Herbe à chat le savait car elle avait profondément mal, mais pas uniquement à cause de la blessure. Un élan de mélancolique s'emparra  d'elle. Le matou lui dit alors ceci:"Si tu veux faire une prière à ton compagnon, fait le maintenant. Le félin avait mal comprit sa phrase. Elle n'avait pas de compagnon. Cette simple petite phrase la faisait enrager depuis toujours. Lâchant un rugissement de colère, elle s'échappa de l'emprise du matou avec une vitesse incroyable. Puis elle lui dit, rageuse:"Je crois que tu n'as pas compris. Je n'ai jamais eu de compagnon !"

Foudre vit que la femelle devenait en colère, comme il aimait ça, la colère, la haine... C'était du pareil au même et pourtant il se nourrissait de cette haine que chaque félin aspirait, certain plus que d'autre. Les pattes du matou étaient toujours trempés dans le sang, cette substance dont il ne pouvait plus se passer, son parfum, sa texture et même sa couleur qu'il associait souvent à la violence. Il attendait toujours les prièrent de la chatte à son compagnon, au lieu de quoi, elle avait l'air mélancolique... Pourquoi ? était-ce la tristesse de devoir mourir ? avait elle des chatons ? Le matou en déduit que non, elle paraissait trop jeune... Bon, qu'attendait elle pour parler ? dire quelque chose, deux ou trois mots d'adieux... Un truc dans le genre... foudre s'impatientait. C'est alors qu'il sentit la femelle très en colère, il la fixa avec défi, elle se dégagea avec un certaine vitesse qui faisait honneur à son clan, Foudre la laissa se dégager sans résister avec son sourire moqueur et méprisant. La chatte, presque folle de rage, alors que Foudre ne l'avait quasiment pas abimé feula:

- Je crois que tu n'as pas compris. Je n'ai jamais eu de compagnon !

foudre la regarda un moment sans répondre. Elle n'avait pas de compagnon ? Mais alors pourquoi avait elle lâcher cette phrase... il plissa les yeux, soupçonneur, n'essayant pas de l'attaquer, il pouvait toujours le faire plus tard, là, il voulait juste savoir... Il s'assit et se lécha la patte pleine de sang, le savourent encore un peu avec délectation puis planta ses yeux jaunes, inquiétant et cruel dans ceux de la chatte en colère, il prit un ton mielleux et sinistre et déclara:

- Je ne comprend pas, ton histoire n'a pas de sens, alors de qui parlait-tu dans ta phrase précédente ? De ton frère ?

Foudre fit à nouveau l'ignorant, voulant savoir quel plan avait la chatte pour le déstabiliser et s'enfuir mais ça ne marcherait pas avec lui.

Herbe à chat était en colère. Le matou la fixait avec un air sournois. Il lécha sa patte pleine de sang de la guerrière, avant de demander:"Je ne comprends pas le sens de ton histoire, tu parlait de qui ? De ton frère ?"
Les yeux de la féline s'enflammèrent. Ce félin était une cervelle de souris, comme les autres, oui, il n'était qu'un ignorant. Il allait voir que Herbe à chat avait aussi tué, par le passé, et que il ne fallait jamais la pousser à bout. Jamais. Tous ceux qui l'avait fait l'avait chèrement payé. Elle écumait de rage. Elle bondit sur le matou, qui fut extrêmement surpris de cette réaction. La guerrière le plaqua au sol et lui hurla, collant presque son museau au sien:"JE N'AI JAMAIS EU PERSONNE, TU M'ENTENDS, JAMAIS !" Et elle lui enfonça ses griffes dans le corps, une vielle technique à elle, de sorte qu'il ne puisse pas se dégager, et qu'elle ne puisse pas non plus se faire éjecter.

La femelle était folle de rage, incontrôlable... Incontrôlable et triste, voilà la déduction du matou, apparemment, faire l'ignorant l'avait encore plus énerver, tant mieux, d'un côté, le matou savoura d'avantage, mais jamais il n'aurait cru qu'elle attaquerait de nouveau, surpris le matou tomba, la femelle enfonça ses griffes dans son corps, le matou ne réagit pas, la douleur ne l'atteignait plus vraiment depuis longtemps, la haine pour ses chats de clans prenant toujours le dessus, d'abord il ne réagit pas, évaluant la situation et il savait que la femelle avait utilisé une technique que Phœnix lui avait montré, dommage pour elle, un tueur né s'est toujours comment se tirer d'un mauvais pas même si il doit y laisser des poils. La femelle hurla alors:

- JE N'AI JAMAIS EU PERSONNE, TU M'ENTENDS, JAMAIS !

Cette phrase ne répondait pas à la question de Foudre mais tant pis. Sans y prêter de l'importance pour le moment le matou noir donna un puissant coup à la chatte les griffes d la chatte s'enfonçant un peu plus dans sa chair mais il l'ignora. Avec violence il se dégagea le sang coulant d'une blessure et la matou se demandait tout de même où s'est qu'elle avait appris une technique pareil. Pas dans son clan en tout ca, il lui fit face, dignement, il sourit sombrement puis planta de nouveau ses yeux dans celle de la chatte comme en guise d'avertissement il gronda:

- Très bonne technique qui aurait dû marcher avec n'importe qui... Sauf quelqu'un comme moi qui a passer sa vie à s'entrainer pour tuer et éviter ce genre d'attaque, enfin bref, je te conseil vivement de te calmer si tu ne veux pas que je t'égorge et que je te laisse périr sur ton propre territoire et dit moi plutôt pourquoi le fait de ne pas avoir de compagnon te met dans un état pareil ? Dans ma vision des choses être libre rend plus fort.

Herbe à chat sentait qu'elle gagnait le dessus. Ou plutôt elle croyait. Car l'autre félin la repoussa sans mal apparant, mais tout de même grièvement bléssé. Il lui lança un avertissement, mais elle ne l'écouta pas. C'était le moment de voir si la technique de combat enseigné par un félin qu'elle ne connaissait pas allait fonctionner. Elle fonça sur le matou. Mais celui-ci ayant anticipé, il s'écarta... du bon côté. Herbe à chat grimpa à toute vitesse dans un arbre, chose qu'elle savait faire depuis toujours. Elle sauta sur le félin ennemi, lui entailla très profondément le flan, et lui souffla d'un air cruel:"J'ai déjà eu affaire à des félins comme toi par le passé." Elle s'écarta de façon à être provisoirement hors d'atteinte.L'autre saignait abondement:"Sache que je ne recule devant rien. Tant que je n'ai pas atteins mon but."

Foudre commença à sérieusement s'agacer et à s'ennuyer face à cette chatte, elle lui sauta dessus plusieurs fois, Foudre ne contre-attaqua pas, pas contre elle, elle était absolument inintéressante et insignifiante, elle fonçait tête baissé sans s'expliquer, sans communiquer, presque à la manière d'un solitaire, d'un côté, elle ne ressemblait en rien à une chatte du clan des félins rapides. il songea également d'en faire un rapport détailler à Phœnix pour qu'un jour, il lui apprenne les bonnes manières... Phœnix était doué pour faire la loi alors que Foudre attaquait sans prévenir, de façon fourbe et le matou noir avait bien envie que Phœnix s'amuse un peu avec cette chatte complètement borné et qui n'entendait jamais raison. La femelle feula plusieurs choses que le matou ne pris même pas la peine d'analyser et pourquoi s'entêtait elle à attaquer plus fort qu'elle ? après tout, Foudre avait passer sa vie entière à tuer, massacrer, s'entrainer que ce soit avec Phœnix, tout seul ou sur des victimes alors que la chatte faisait parti d'un clan de félin qui ne s'entrainait même pas avec les griffes.

- Tu m'ennuies profondément. Grogna t-il, va falloir que je parte bientôt sinon je te tue, je le sais.

Mais pour qui se prenait elle, aussi ? Elle n'avait rien d'exceptionnelle aussi! Pourtant, cette femelle, sans le vouloir, le matou l'admirait d'une certaine façon, elle lui faisait un peu penser à Pluie d'Eté en plus caractérielle, il savait qu'il ne pourrait jamais devenir son ami... Et pourtant, il en pouvait que la plaindre, après un soupire toujours agacé, il s'approcha d'elle et, sans gêne s'approcha d'elle jusqu'à la toucher, juste pour la voir comme ça et oui, elle ressemblait quand même à Pluie d'Eté... Dans ton plutôt franc quoiqu'un peu glacial il rétorqua(d'ailleurs il était un peu trop franc à son gout, il devrait y remédier plus tard):

- Je ne vois pas où est le problème de ne pas avoir de compagnon, tu es encore jeune et, quoique tu puisses en dire, tu es belles.

Herbe à chat attaquait encore et toujours. Pourquoi ? Elle ne savais même plus. Elle avait mal, profondément mal, mal de tout ce qu'on lui avait dit, de ce qu'elle avait subit. Elle avait eu des problèmes par le passé, et en avait encore aujourd'hui. Il fallait qu'elle arrête de lui faire du mal, même si ce chat voulait à tout prix la tuer. Herbe à chat souffrait trop. Elle vit alors près d'elle des toiles d'arraignée. Elle les pris, puis se rapprocha du félin. Il ne bougea pas. Elle se rapprocha encore. Il ne bougeait toujours pas. Alors elle mit sa patte contre le flan de l'autre et pansa la blessure qu'elle lui avait faite quelques minutes plus tôt. Puis elle se recuka s'asseya et lui dit:"Je...Je suis désolée pour ce que je t'ai fait. Toi au moins, tu aimes quelqu'un et quelqu'un t'aime. Moi, je ne connais personne. Je n'ai jamais eu de famille ! Alors..." Mais elle ne put pas finir sa phrase. Elle éclata en sanglots et se mit à pleurer amèrement.

Foudre voyait bien qu'elle souffrait et d'un côté, ça le rendait heureux, voir cette souffrance s'ouvrir à lui, la voir se perdre sur un chemin qu'elle seul aurait dû connaître. Ca lui redonnait des forces de la voir si amer et si mal en point que ce soit physiquement ou intérieurement. Il profitait du malheur des autres pour être heureux, il était sadique et très fier de l'être et pourtant, il ressentait une petit quelque chose pour cette chatte, il en déduit maladroitement qu'il ne s'agissait ni d'amour, ni d'amitié, mais une sorte d'attirance... peut être parce qu'avant de devenir aussi cruel et sans cœur, Foudre était passer par cette même tristesse qu'il ne connaît plus à présent. Mais c'est également à ce moment là qu'il découvrit une nouvelle forme de torture. Que l'on pouvait utiliser qu'avec le sexe opposer... Mais les femelles restent quand même plus sentimental, semble t-il. Car on peut très bien faire souffrir une femelle en lui faisant croire que vous étiez le matou de ses rêves, son âme sœur, la trahison est bien pire qu'un coup de griffe en plein cœur, rien que d'y penser, il en sourit, s'est alors que la chatte dit:

Je...Je suis désolée pour ce que je t'ai fait. Toi au moins, tu aimes quelqu'un et quelqu'un t'aime. Moi, je ne connais personne. Je n'ai jamais eu de famille ! Alors...

Ses derniers mots furent noyer dans un flot de sanglot et de larme qui n'atteignirent pas vraiment le matou, il aurait bien aimé compatir mais ça lui était impossible, il en restait insensible. Et puis d'abord... Comment savait elle qu'il avait quelqu'un dans sa vie ? Comment diable était elle au courent ? Il la regarda soupçonneuse mais ne fit pas la remarque, de plus il savait très bien que, même si il continuait à tuer malgré la réticence de sa compagne, il donnerait(malheureusement) sa vie pour elle sans se poser de question. Pourtant Foudre n'avait aucunement envie de séduire cette chatte pour la trahir ensuite pour deux raisons, la première il ne pourrait que s'en vouloir en pensant à Pluie d'Eté, la deuxième, ce n'était pas du tout son type de torture habituelle, préférant nettement éborgner un chat, le démembrer, lui arracher la queue, le laisser mourir dans un coin après l'avoir violement blessé ect,... D'une voix toujours agacé, Foudre marmonna:

- Je te les déjà dit, tu es jeune et tu à la vie devant toi. Enfin... Ce ne sont pas mes affaires après tout et puis moi et les histoires de cœur j'y connaît strictement rien.

Herbe à chat pleurait, pleurait toujours. Et elle en avait besoin. L'autre lui dit alors:"Tu sais, tu as encore toute la vie devant toi."  Oui elle savait. Mais elle ne voulait pas oublier sa rencontre avec ce félin. Elle voulait devenir... son amie. Il n'en voudrait pas, sûrement, mais elle voulait devenir son amie. En mémoire à ce félin inconnu, qui lui seul l'avait vue autrement, sous un autre jour. Celui qui l'avait entrainée apprentie avait été d'un autre clan, du Clan des Félins. Et le matou avait l'air de mépriser les clans, et de défendre celui des félins. La guerrière voyait que seul son mentor défunt avait vu le bon côté des choses. Alors Herbe à chat décida alors de demander à l'autre si il voulait bien être son ami. Mais soudain les raffales de vent se firent plus fortes, et l'arbre au dessus de l'autre félin craqua et se mit à tomber sur la personne qu'elle voulait comme ami. Il aurait pu se décaler à temps, seulement il n'avait pas l'air d'avoir entendu. Alors, la jeune chatte, dans un élan de courage et d'amitié, fonça sur l'autre et d'un coup violent le mit hors d'atteinte de l'arbre. Mais elle n'eu pas cette chance. Une de ses pattes était restée coincées sous les branches de l'arbre et lui faisait horriblement mal. Elle réussi tout de même à articuler:"Au moins, j'aurai dans ma vie sauvé un ami... Celui qu'aime mon amie Pluie d'Été." Et elle s'évanouhit.

Le vent souffla un pue plus fort lui ébouriffant sa fourrure noir comme la nuit, seulement, ce vent était puisant ravageant feuille et branche. D'ailleurs, celle en dessus de lui craqua, elle fut secouer vilement, Foudre n'était pas stupide, il savait qu'elle tomberait car elle ne tenait plus qu'à une brindille., pourtant il ne broncha pas, restant sagement assis jusqu'à se ce que la branche se casse, Foudre tressaillit, il était prêt à déguerpir au dernier moment si besoin, mais étonnement, l'autre chatte parut se faire du soucis pour lui, à telle point qu'il en aurait oublier de s'enfuir, d'un coup, la femelle le frappa vilement, le matou atterrit lestement sur ses pattes, son regard s'arrêtant sur la femelle qui ne s'écarta pas assez tôt, la branche s'écrasa de tout son poids sur l'une de ses pattes, il la regarda plus en colère qu'autre chose. Pourquoi avait elle fait une chose aussi idiote ? Pourquoi avait elle voulu protégé Foudre qui n'aspirait que le mal incarné ? Il s'approcha de la jeune chatte la fourrure hérisser, la pluie s'abattant sur eux comme un déluge.

- Au moins, j'aurai dans ma vie sauvé un ami... Celui qu'aime mon amie Pluie d'Été.

Elle s'évanouit. Foudre ne réagit pas tout de suite, il n'avait aucune raison de l'aider, de plus, il aurait pu s'enfuir tout seul, mais si s'était l'ami de Pluie d'Eté... Non, ça ne devrait rien changer, il ne lui devait rien. Et puis, il n'avait ca la laisser mourir, ce ne serait pas une grande perte, ce serait nettement moins amusent que de la tuer soi-même, mais ça ferait l'affaire. Toute ses idées malsaines et que le matou aimait tant se bousculèrent dans sa tête, il s'assit donc pour réfléchir, sans se presser alors que la femelle paraissait grièvement blesser et sous le choc. De toute façon, il était incapable de l'aider, la branche était bien trop lourde pour être soulever, il fixa donc la femelle de son regard perçant et sans aucune émotion attendant, sans même savoir si elle pouvait l'entendre, Foudre lâcha:

- Tu peux te sortit d'affaire toute seule, si tu y arrive, c'est que tu es forte et que tu mériteras de vivre, si tu n'y arrive pas, tu resteras coincé ici et tu mourra, à toi de voir.

La jeune chatte avait horriblement mal à sa patte. Le matou lui parla, mais elle ne compris pas. De toute façon elle était coincée et avait mal. Elle fut incapable de répondre pour le moment. Elle pensa alors aux choses bien qu'elle avait fait dans sa courte vie. Elle pensa à son mentor. Puis les paroles de Pluie d'Eté lui revinrent:Je te vengerai toujours. Même si je doit affronter la personne que j'aime. Car tu es mon amie la plus chère, et rien n'y changera. Herbe à chat fit alors un effort pour parler:"Je suis à ta merci, tu peux me tuer si tu veux. Mais on dirait que tu ne veux pas le faire, alors que tu es un félin sanguinaire redouté. Je sais que tu connais Pluie d'Eté. C'est ma meilleure amie, celle qui me vengera si je péris sous les griffes d'un autre. Je sais également qui tu es. Tu es Foudre, l'aimé de Pluie d'Eté.Mais pourquoi tu ne me tues pas. Pourquoi ?" Et elle sombra de nouveau dans l’inconscience.

Le matou voyait bien que la femelle ne bougeait pas. Tant pis pour elle, il n'avait pas à lui sauver la vie, mais il fallait dire que voir ce spectacle si appréciable qu'était de voir mourir une chatte sous une branche d'arbre, n'étais-ce pas ce qu'il aimait depuis toujours ? Cette souffrance dont il se nourrissait ? Ce malheur qui le rendait si fort ? Et l'époque où il n'était pas comme ça ? Où son cœur de chaton battait encore ? Non, s'était une époque qu'il avait oublié et enterré à jamais, Foudre ne bougeait toujours pas, peu désireux de l'aider, il la regardait en silence, si elle se sortait d'affaire toute seule, il la laisserait vivre car elle lui aurait prouver son désire de vivre, sa force, et puis, même si elle s'était excusé, s'était un moyen de se venger des blessure infligé par la chatte. Ce n'est pas qu'il ait mal, loin de là, mais au moins, elle aurait retenu la leçon. On ne se frotte jamais à un dangereux tueur et on ne lui tient pas tête sous peine que le sort se retourne contre vous. Après un effort qui lui semblait difficile, la chatte réussit à parler:

- Je suis à ta merci, tu peux me tuer si tu veux. Mais on dirait que tu ne veux pas le faire, alors que tu es un félin sanguinaire redouté. Je sais que tu connais Pluie d'Eté. C'est ma meilleure amie, celle qui me vengera si je péris sous les griffes d'un autre. Je sais également qui tu es. Tu es Foudre, l'aimé de Pluie d'Eté. Mais pourquoi tu ne me tues pas. Pourquoi ?


Foudre serra les crocs en entendant le nom de Pluie d'Eté. Mais pourquoi devait elle être mêlé à tout ça ? Lors de l'une de leur rencontre, Foudre avait clairement fait comprendre à Pluie d'Eté qu'en dehors de leur rencontre il état différent et qu'il ne voulait pas qu'elle le découvre sous cet aspect terrifiant de sa personne. L'autre chatte semblait de nouveau s'être évanouit. "quelle idiote". Et puis, en même temps, Foudre était tourmenté. La meilleure amie de Pluie d'Eté, hein. Elle devait donc beaucoup l'apprécier, mais bon, ça ne le regardait pas, à la fin! Fulminant de rage et de colère, Foudre cracha comme pour lui même:

- J'avais prévenu Pluie d'Eté que je n'étais pas le même hors de nos rencontre, je le lui avait dit! Et ce n'est pas pour ça que je vais me retenir de massacrer les chats de clans.


Foudre recula en grondant férocement et fit remarquer d'une voix méprisante et obtiné sans faire attention si on l'écoutait ou non:

- De plus, je ne compte pas te tuer, mais il est vrai que tu mourras si tu ne dégages pas cet arbres et pour ça, je te laisse te débrouiller!!

Herbe à chat réfléchissait. Il fallait qu'elle trouve un moyen de s'en sortir. Pour prouver au matou qu'il l'avait mal jugé. Elle trouva une faille dans l'arbre. Elle glissa tout doucement sa patte et sentit qu'elle se décoincait. Enfin ! La féline la dégagea complètement, et se mit debout maladroitement sur ses trois pattes valides. Puis elle dit au félin d'un air un peu railleur:"Tu vois, je suis encore debout."

Le vent ne cessa de souffler, violent, froid et cette pluie qui tombait de pluie belle inlassablement. Plusieurs branches d'arbres autour d'eux craquaient et finissait souvent par se casser. Les nuages qui avait couvert le ciel à une vitesse phénoménal avait plongé le monde dans le noir, comme le soir, Foudre se confondant facilement avec le paysage. Il plissa les yeux pour voir ce qu'envisageait de faire la chatte toujours coincer sous sa branche d'arbre. Il commençait à sérieusement s'impatienter, lui, il se serait dégagé depuis longtemps! de plus, cette pluie l'agaçait sérieusement! puis, enfin, la femelle trouva une faille pour s'échapper, elle finit par sortit entièrement de ce mauvais pas. Foudre secoua la tête. "c'est pas trop tôt" la femelle lui dit d'une voix railleur:

- Tu vois, je suis encore debout.

foudre ricana, et oui, elle tait encore debout mais elle avait mis longtemps à se remettre sur patte! Mais il est vrai qu'elle n'avait pas abandonné et ne s'était pas laissé mourir. S'était une bonne détermination pour une chatte de clan. Cette même détermination, Foudre l'avait déjà vu chez Etoile d'Ouragan, probablement le cheffe de cette chatte. Voilà au moins un point positif, puis, le matou, d'une voix moqueuse et peu amical gronda:

- Et bien il t'en a fallu du temps! Et tu aura fait beaucoup de bruit pour rien on dirait, s'était pas bien difficile de se dégager pourtant!

Herbe à chat vit que le matou ne l'avait pas, puis il dit d'un ton peu amical:"Tu en a mis du temps. Ce n'était pas si difficile." La jeune chatta n'avait pas perdu son temps, loin de là. Elle avait juste testé le matou. Et sans s'en rendre compte, il avait réppndu à toutes ses questions en réagissant de différentes façons. Alors elle lui dit:"Je ne suis pas la seule à être stupide ici. Car tu n'as même pas remarqué que je testais."Elle fit une pause pour laisser le temps à l'autre de réfléchir et dit:"Sois mon ami. S'il te plait, Foudre."

La pluie cessa lentement de tomber mais le ciel resta gris, le vent continuait de souffler. Foudre s'ébroua faisant tomber de petites gouttelettes de son pelage noir comme la nuit. Cette femelle... Que lui voulait elle au juste ? Foudre aurait déjà dû s'en débarrasser depuis longtemps et si ça continue, il allait sérieusement le regretter, il ne devait pas rester trop longtemps, cette chatte le faisait tourné en bourrique et il n'arrivait plus à se contrôler surtout que le désire du sang reprenait le déçu sur sa raison, en effet, ses griffes était sortit et ses yeux réduits à deux fentes de façon menaçante et cruel en était la preuve. Il avança d'un pas en grondant mais la voix de la femelle le stoppa net:

- Je ne suis pas la seule à être stupide ici. Car tu n'as même pas remarqué que je testais.

Foudre la fixa un instant et éclata de rire. Un rire froid et sinistre qui évoquait le plus profond des ténèbres. Et à qui voulait elle faire croire ça ? Non, pas à lui en tout ca! Quelle petite idiote! Et l'arbre aussi s'était un test ? Elle la scier d'un coup de patte pour le faire tomber sur Foudre ? Foudre sourit en secoua la tête avec mépris. Oui, la plupart des chats étaient des idiots avec une cervelle de la taille d'une noix. Mais le sidérant fut la seconde phrase qu'elle dit:

- Sois mon ami. S'il te plait, Foudre.

Ok. Là, elle se fichait complètement de lui! Foudre l'observa longuement puis baissa la tête les yeux fermés avec son large sourire de coin qui représentait le mal en personne. Quand il rouvrit les yeux, il brillait farouchement dans la nuit dû au nuage gris. Et il cracha:

- Non mais j'espère que tu plaisantes! Moi ami avec toi ?! Décidément tu es encore plus stupide que ce que je craignais! Je n'ai pas d'ami et je n'en aurai jamais.

Sachant que Pluie d'Eté n'était pas son ami mais bien plus que ça.

Herbe à chat voyait que Foudre ne comprenait pas. Mais le courage de la femelle reprit le dessus sur tout le reste et elle dit:

_Non Foudre, je ne plaisante pas. Je ne suis pas un "chat stupide", contrairement à ce que tu peux penser.

Puis Herbe à chat se tourna, prit sa patte et la redressa dans un claquement sec, ce qui fit bondir de frayeur l'autre matou. Elle n'avait plus très mal, mais il fallait qu'elle fasse attention. Elle dit encore une fois à Foudre:

_ Sois mon ami, Foudre.

Pourquoi tant d'obstination inutile ? Foudre ne voulait pas comprendre et ne voulait pas devenir son ami, jamais. Plus il y pensait, plus il la trouvait stupide de croire en une amitié qui ne tiendrait pas jusqu'au bout. Pourquoi ? Parce que si Foudre acceptait, ce serait pour la trahir ensuite, hors il avait clairement expliqué que ce n'était pas son style, il ne faisait pas souffrir les félins par le cœur. Pourquoi ? Ce n'est pas par gentillesse soyez en sur mais par choix car il trouvait que ça ne servait à rien, l'agonie et le sang étant un bien meilleur moyen celons lui... Voilà pourquoi il était catégorique et cette femelle, si naïve soit elle...

- Non Foudre, je ne plaisante pas. Je ne suis pas un "chat stupide", contrairement à ce que tu peux penser.

elle était obstiné et borné et Foudre ne reviendrait pas sur sa décision et pourtant lui prenant la patte, Foudre sursauta, ses yeux voiler d'une sorte de colère... Non mais pour qui se prenait cette impertinente ? Foudre en eut vite marre et il l'interdisait de le tuer, il montra Aussitôt les crocs, le regard si noir et assassin qu'il parut effrayant, la femelle répéta:

- Sois mon ami, Foudre.

Colère et haine mélangé, mais que comprenait elle pas dans " il n'aurait jamais d'ami"?! Cette demande, on la lui avait déjà faite, par des félins de clan en plus! Deux jeunes chats du nom de Nuage Tigré et Nuage de Foudre. Mais qu'avait t-il avec leur demande d'amitié?! Foudre gronda, les chats qui demandent des amis ne sont que des cas désespéré en manque d'affection! Le matou noir l'avertit:

- Tu me touches, je te tue. Je croyait avoir été assez clair, je ne veux pas d'ami!!

-

Foudre devenait de plus en plus en colère, ça se voyait. Il gronda:

_ Tu me touche, je te tue !

Herbe à chat n'avait pas peur de cette menace. Elle renouvellerait sa demande autant de fois que Foudre refuserait. Elle lui répondit:

_ Je n'ai plus peur de tes menaces. Sois mon ami, Foudre.

Foudre s'approcha de la chatte, il serait temps pour lui de s'en aller, cette femelle allait le faire exploser! Il feula, quelle sotte! Il ne cessait de la traiter de tout les noms car si s'était l'ami de Pluie d'Eté... Non, ça devait lui être bien égale, il suffoqua un instant, l'envie du sang le fit perdre la tête... Il recula la fourrure hérisser, une ombre rouge passant dans ses yeux assoiffés. Voilà une demie mâtiné qu'il avait perdu à discuter avec cette dégénéré plutôt que de tuer et de massacré des chats, s'en était trop l'envie était bien trop grande et cette chatte qui continuait à s'entêter:

- Je n'ai plus peur de tes menaces. Sois mon ami, Foudre.

Il serra les crocs et avec rapidité étonnante, il lui bondit dessus une nouvelle fois la plaquant au sol, toute griffes découvertes il abattit l'une de ses pattes sur la joue de la femelle, ses yeux la toisant froidement, un instant il ne bougea plus, une patte levé comme si il hésitait à donner le coup de grâce, puis, après un moment il lâcha:

- Lors de notre prochaine rencontre, je te tuerai, ami ou non de Pluie d'Eté.

Sans qu'elle ait eut le temps de répliquer, il bondit souplement à côté d'elle, il ne fallait plus qu'il s'attarde ici.